Ce dimanche après-midi, Zuma s'est adressé à plusieurs centaines de supporters réunis devant sa résidence Nkandla dans le KwaZulu-Natal depuis mardi pour les remercier de leurs soutiens, et ce dimanche soir il s'exprimait devant la presse. L'ancien président a dénoncé des lois qui ne s'appliqueraient qu'a lui.
« Il ne peut pas y avoir de loi Zuma » en Afrique du Sud, a lancé l'ancien président. Sa ligne de défense souligne le fait qu'il a été condamné sans procès. « Je suis effrayé de voir que l'Afrique du Sud retombe sous un régime d'apartheid », ose Jacob Zuma.
Il faut rappeler qu'il a refusé à plusieurs reprises de venir se défendre devant la Cour constitutionnelle. Ce sont ces refus, et d'autres avant eux qui ont motivé sa condamnation. « Je n'ai pas peur d'aller en prison pour mes idées », a réaffirmé Jacob Zuma rappelant ses 10 années de prison au pénitencier de Robben Island aux côtés de Nelson Mandela dans les années 1960.
Jacob Zuma a rendez-vous dès mardi devant une juridiction provinciale pour savoir si l'ordre de l'arrêter peut-être suspendu. Si cette juridiction ne lui donne pas satisfaction, il peut toujours être arrêté mardi ou mercredi. Le sera-t-il alors que la Cour constitutionnelle a accepté d'examiner son recours le 12 juillet ? C'est peu probable, mais comme l'écrit un journaliste politique. « Ce soir nous sommes, en territoire inconnu. »
« Il ne peut pas y avoir de loi Zuma » en Afrique du Sud, a lancé l'ancien président. Sa ligne de défense souligne le fait qu'il a été condamné sans procès. « Je suis effrayé de voir que l'Afrique du Sud retombe sous un régime d'apartheid », ose Jacob Zuma.
Il faut rappeler qu'il a refusé à plusieurs reprises de venir se défendre devant la Cour constitutionnelle. Ce sont ces refus, et d'autres avant eux qui ont motivé sa condamnation. « Je n'ai pas peur d'aller en prison pour mes idées », a réaffirmé Jacob Zuma rappelant ses 10 années de prison au pénitencier de Robben Island aux côtés de Nelson Mandela dans les années 1960.
Jacob Zuma a rendez-vous dès mardi devant une juridiction provinciale pour savoir si l'ordre de l'arrêter peut-être suspendu. Si cette juridiction ne lui donne pas satisfaction, il peut toujours être arrêté mardi ou mercredi. Le sera-t-il alors que la Cour constitutionnelle a accepté d'examiner son recours le 12 juillet ? C'est peu probable, mais comme l'écrit un journaliste politique. « Ce soir nous sommes, en territoire inconnu. »
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