Jusqu’au bout, lors de la dernière audience du 17 octobre, la juge Masipa est restée impassible, écoutant en silence les arguments de la défense et de l’accusation.
Lors de sa plaidoirie, l’avocat Barry Roux a présenté Oscar Pistorius comme « une victime » qui a tout perdu. Selon lui, la prison ne ferait que « détruire un peu plus le sportif », «traumatisé » et très vulnérable sur ses prothèses. La défense estime qu’une assignation à résidence et des travaux d’intérêt général serait une peine suffisante pour Oscar Pistorius, lequel peut « encore être utile à la société » selon son avocat.
Ces recommandations sont jugés « choquantes » par l’accusation, qui a souligné la souffrance de Reeva Steenkamp.
Selon le procureur, si Oscar Pistorius n’est pas envoyé derrière les barreaux, la société sud-africaine se sentira trahie. L’accusation requiert donc un minimum de dix ans de prison contre lui.
Il revient maintenant à la juge Masipa de décider. Mais en écartant la thèse du meurtre dans son verdict mi-septembre, elle avait déjà divisé l’opinion sud-africaine.
-
Coup d’État avorté au Bénin : le chef de la Garde républicaine raconte l’assaut contre la résidence de Patrice Talon
-
Bénin: les pays de l'Alliance des Etats du Sahel (AES) très attentifs à la situation
-
Coup d'Etat en Guinée-Bissau: l'opposition demande à la Cédéao de faire preuve de la même fermeté qu'au Bénin
-
Nigeria: le Sénat valide officiellement envoi de troupes au Bénin
-
Soudan: l’ex-chef de milice Ali Kushayb condamné à 20 ans de prison par la CPI pour «crimes contre l’humanité et crimes de guerre commis au Darfour»





Coup d’État avorté au Bénin : le chef de la Garde républicaine raconte l’assaut contre la résidence de Patrice Talon


