Costume rayé, bien droit sur la scène à côté du président de la Cour constitutionnelle, le président Cyril Rampahosa confirme : « Oui, je connais le serment. » C'est en effet la seconde fois qu'il le lit, puis il conclut : « Que dieu me vienne en aide ».
Au public qui l'applaudit en contrebas, le président s'engage : « Nous affirmons notre détermination à construire une société plus égalitaire et plus protectrice. » Mais il a aussi reconnu les manquements des précédentes administrations et l'exaspération des Sud-Africains. « Ils ont aussi exprimé sans détours leur déception et leur réprobation vis-à-vis de nos performances dans certains domaines pour lesquels nous avons échoués. »
Plusieurs chefs de l'État africains étaient également présents : les présidents congolais Félix Tshisekedi, et Denis Sassou Nguesso, le président nigérian Bola Tinubu, les voisins namibien et zimbabwéen.
La journée n'est pas fériée en Afrique du Sud. Le chef de l'État promet aux Sud-Africains de mieux faire au sein d'un gouvernement d'union nationale composé de plusieurs partis politiques. « Les Sud-Africains ont souligné qu'ils en ont assez des querelles politiques. La formation d'un gouvernement d'union national est un moment très important, c'est le début d'une nouvelle ère. »
Au moins six partis ont déjà prévu de travailler ensemble. C'est maintenant au président de former ce gouvernement qui respecte les équilibres politiques et qui assure la stabilité du pays.
Au public qui l'applaudit en contrebas, le président s'engage : « Nous affirmons notre détermination à construire une société plus égalitaire et plus protectrice. » Mais il a aussi reconnu les manquements des précédentes administrations et l'exaspération des Sud-Africains. « Ils ont aussi exprimé sans détours leur déception et leur réprobation vis-à-vis de nos performances dans certains domaines pour lesquels nous avons échoués. »
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