En séance plénière ce mardi pour le vote du budget 2024 du ministère de l’Agriculture, de l’équipement rural et de la souveraineté alimentaire, les députés ont sollicité l’évaluation de la distribution des intrants dans le secteur agricole. Ils ont demandé leur mise en place à temps utile au profit des agriculteurs. Ils ont ainsi dénoncé la cherté de l’engrais et des semences. Selon eux, cela est dû aux intermédiaires qui sont entre l’Etat et les producteurs.
Considérant que ce secteur doit être un moteur de la croissance économique, et le levier du développement et social, à la faveur des atouts dont dispose le Sénégal, les députés ont sollicité la hausse substantielle du budget. Ils ont souhaité être édifiés sur l’état d’exécution du budget de l’année 2023, tout en relevant la part importante des ressources extérieures dans le financement dudit secteur. Ils ont dans le même ordre d’idées, souligner la faiblesse des dotations allouées à la recherche agricole, réaliser la souveraineté alimentaire. Ils ont demandé leur mise en place à temps utile au profit des agriculteurs.
Abordant la structuration de ce ministère, certains Commissaires ont estimé que ce dernier s'apparente davantage à une compilation des projets et ont ainsi souhaité sa restructuration, pour un meilleur pilotage. Ils ont aussi considéré qu'une structure logée au sein de la Direction de l'Agriculture ne peut plus assurer, de manière efficiente, la gestion de la semence et ont, par ailleurs, demandé le renforcement de la reconstitution du capital semencier.
Toutefois, ils ont relevé le retard enregistré dans la distribution, notamment des semences dans des localités telles que les départements de Thiès, Gossass et Darou Mousty. À cet égard, afin de créer les conditions d'une bonne campagne, ils ont plaidé en faveur du renforcement des intrants agricoles aussi bien en qualité qu'en quantité. De même, vos Commissaires ont considéré que l'exploitation du phosphate de Matam est aujourd'hui à l'arrêt. Or, diront-ils, c'est le meilleur phosphate en matière agricole, du fait, notamment de la faible quantité de métaux lourds qu'il recèle.
Considérant que ce secteur doit être un moteur de la croissance économique, et le levier du développement et social, à la faveur des atouts dont dispose le Sénégal, les députés ont sollicité la hausse substantielle du budget. Ils ont souhaité être édifiés sur l’état d’exécution du budget de l’année 2023, tout en relevant la part importante des ressources extérieures dans le financement dudit secteur. Ils ont dans le même ordre d’idées, souligner la faiblesse des dotations allouées à la recherche agricole, réaliser la souveraineté alimentaire. Ils ont demandé leur mise en place à temps utile au profit des agriculteurs.
Abordant la structuration de ce ministère, certains Commissaires ont estimé que ce dernier s'apparente davantage à une compilation des projets et ont ainsi souhaité sa restructuration, pour un meilleur pilotage. Ils ont aussi considéré qu'une structure logée au sein de la Direction de l'Agriculture ne peut plus assurer, de manière efficiente, la gestion de la semence et ont, par ailleurs, demandé le renforcement de la reconstitution du capital semencier.
Toutefois, ils ont relevé le retard enregistré dans la distribution, notamment des semences dans des localités telles que les départements de Thiès, Gossass et Darou Mousty. À cet égard, afin de créer les conditions d'une bonne campagne, ils ont plaidé en faveur du renforcement des intrants agricoles aussi bien en qualité qu'en quantité. De même, vos Commissaires ont considéré que l'exploitation du phosphate de Matam est aujourd'hui à l'arrêt. Or, diront-ils, c'est le meilleur phosphate en matière agricole, du fait, notamment de la faible quantité de métaux lourds qu'il recèle.
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