La bagarre rangée du Mouvement Des Élèves Et Étudiants Républicains (Meer) devant les grilles du Palais de la République, obligeant les gendarmes à intervenir, a été vivement déplorée par Alioune Tine. Plus jamais ça, clame-t-il.
«Ce qu’on n’a vu au Palais récemment est un signe extrêmement préoccupant pour l’autorité de l’Etat. Que des gens se battent au Palais, que des gendarmes soient obligés d’intervenir, il faut faire en sorte que cela que ne se reproduisent plus», fulmine-t-il.
Le doit de l’hommiste se dit écœuré par l’effondrement des cultures citoyennes, républicaines, entre autres, qui, selon lui, décrédibilise nos institutions.
«Le problème qui me préoccupe le plus, c’est cette espèce d’effondrement de la culture citoyenne, de la culture républicaine, de celle de l’Etat et celle de la politique. Et, à ce niveau c’est extrêmement préoccupant pour l’autorité de l’Etat, la crédibilité de nos institutions publiques, parce que la Présidence est une institution sacrée et nous devons du respect sacré à cette institution de la République», peste-t-il.
Avant d’ajouter qu’il « faut que cette institution soit restée intacte, que son autorité soit intacte pour que quand elle parle, elle est entendue». Il est d’avis que «c’est surtout le système qui expose trop le Chef de l’Etat à l’heure qu’il est».
Par ailleurs, l’invitée du l’émission «Objection » du Suf Fm regrette l’absence de mécanisme, de médiation, de réglementation. Il lance un appel aux différents acteurs à l’apaisement dans un contexte de découverte des ressources gazières et pétrolières.
«Ce qu’on n’a vu au Palais récemment est un signe extrêmement préoccupant pour l’autorité de l’Etat. Que des gens se battent au Palais, que des gendarmes soient obligés d’intervenir, il faut faire en sorte que cela que ne se reproduisent plus», fulmine-t-il.
Le doit de l’hommiste se dit écœuré par l’effondrement des cultures citoyennes, républicaines, entre autres, qui, selon lui, décrédibilise nos institutions.
«Le problème qui me préoccupe le plus, c’est cette espèce d’effondrement de la culture citoyenne, de la culture républicaine, de celle de l’Etat et celle de la politique. Et, à ce niveau c’est extrêmement préoccupant pour l’autorité de l’Etat, la crédibilité de nos institutions publiques, parce que la Présidence est une institution sacrée et nous devons du respect sacré à cette institution de la République», peste-t-il.
Avant d’ajouter qu’il « faut que cette institution soit restée intacte, que son autorité soit intacte pour que quand elle parle, elle est entendue». Il est d’avis que «c’est surtout le système qui expose trop le Chef de l’Etat à l’heure qu’il est».
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