Ils sont cinq candidats en tout, mais trois avec une chance de passer au second tour, dont le favori des sondages, Javier Milei, économiste ultralibéral qui se présente comme un candidat antisystème.
« Je sais comment faire croître l’économie, je sais comment en finir avec la pauvreté, mais surtout, je sais comment exterminer l’inflation. Nous proposons une réforme de l’État, une réduction drastique des dépenses publiques, des baisses d’impôts, la dérégulation totale de l’économie, et la fermeture de la banque centrale », a-t-il assuré lors du débat qui s'est tenu le 1er octobre.
Moins à l’aise que Javier Milei sur les questions économiques, la candidate de la coalition de centre droit, Patricia Bullrich, n’a pas hésité à verser dans l’invective et à s’en prendre à Sergio Massa, l’actuel ministre de l’Économie avec qui elle est en compétition pour passer au second tour : « Vous avez eu faux sur toute la ligne, vous avez multiplié l’inflation par deux. Expliquez aux Argentins comment le pire ministre de l’Économie pourrait faire un bon président. »
Candidat de la coalition de centre gauche au pouvoir, Sergio Massa a joué quant à lui la carte de l’ouverture et s’est adressé directement au téléspectateur : « Je t’invite à construire une Argentine où nous convoquerons un gouvernement d’unité nationale, sans avoir peur ni du dialogue, ni des différences. »
Les candidats se retrouveront le dimanche 8 octobre prochain pour un dernier débat avant le scrutin du 22 octobre.
« Je sais comment faire croître l’économie, je sais comment en finir avec la pauvreté, mais surtout, je sais comment exterminer l’inflation. Nous proposons une réforme de l’État, une réduction drastique des dépenses publiques, des baisses d’impôts, la dérégulation totale de l’économie, et la fermeture de la banque centrale », a-t-il assuré lors du débat qui s'est tenu le 1er octobre.
Moins à l’aise que Javier Milei sur les questions économiques, la candidate de la coalition de centre droit, Patricia Bullrich, n’a pas hésité à verser dans l’invective et à s’en prendre à Sergio Massa, l’actuel ministre de l’Économie avec qui elle est en compétition pour passer au second tour : « Vous avez eu faux sur toute la ligne, vous avez multiplié l’inflation par deux. Expliquez aux Argentins comment le pire ministre de l’Économie pourrait faire un bon président. »
Candidat de la coalition de centre gauche au pouvoir, Sergio Massa a joué quant à lui la carte de l’ouverture et s’est adressé directement au téléspectateur : « Je t’invite à construire une Argentine où nous convoquerons un gouvernement d’unité nationale, sans avoir peur ni du dialogue, ni des différences. »
Les candidats se retrouveront le dimanche 8 octobre prochain pour un dernier débat avant le scrutin du 22 octobre.
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