Lors de son audition devant la Commission ad hoc, Moustapha Diop n'a pas hésité à défendre sa position avec fermeté. L'ancien ministre a vigoureusement contesté les accusations qui pèsent contre lui. Selon le rapport de la Commission, il a formellement nié avoir contracté un emprunt auprès de la personne citée dans le dossier (Tabaski Ngom ndlr). Il a également contesté la véracité des accusations, arguant que la prévenue ne disposait d'aucune preuve pour étayer ses allégations. Pour Moustapha Diop, la levée de son immunité parlementaire constituerait un précédent dangereux non seulement pour lui, mais aussi pour tous les députés, en menaçant ainsi leur sécurité juridique.
Le leader du parti Farlu a également exprimé son désir de coopérer avec les autorités judiciaires. Toutefois, il a insisté sur le fait qu'il serait disposé à témoigner en tant que témoin, sans qu'il soit nécessaire que son immunité soit levée. Selon lui, il est impératif que l'Assemblée nationale attende la production de preuves solides qui confirment sa culpabilité avant de prendre une décision aussi lourde que la levée de son immunité.
Si le vote de l’Assemblée nationale a ouvert la voie à des procédures judiciaires, Moustapha Diop continue de clamer son innocence et de dénoncer une démarche qu’il juge précipitée et sans fondement.
Le leader du parti Farlu a également exprimé son désir de coopérer avec les autorités judiciaires. Toutefois, il a insisté sur le fait qu'il serait disposé à témoigner en tant que témoin, sans qu'il soit nécessaire que son immunité soit levée. Selon lui, il est impératif que l'Assemblée nationale attende la production de preuves solides qui confirment sa culpabilité avant de prendre une décision aussi lourde que la levée de son immunité.
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