L’Agence Africaine pour le Commerce et le Développement (2ACD), en collaboration avec l’Organisation Internationale de la Francophonie, a ouvert ce lundi à Dakar un atelier sous-régional dont le thème porte sur les négociations commerciales internationales. La cérémonie d’ouverture de cet atelier qui va durer du 20 au 23 décembre, a été présidée par le représentant du ministre du Commerce, Amadou Niang.
Les cadres de la sous région se sont réunis ce matin pour donner leur point de vue sur les processus de négociation en Afrique. «Les pays africains doivent mieux se parler entre eux pour avoir les meilleurs résultats», affirme M. El Hadji Diouf, Directeur Exécutif de l’Agence africaine pour le commerce et le développement. Pour lui, «l’Afrique a besoin d’une vraie mise en cohérence et des experts qui pourraient le défendre dans les processus de négociation».
Le représentant du Ministre du Commerce a pour sa part, remercié le Directeur de l’agence 2ACD qui est «une structure dédiée à l’assistance technique pour l’Afrique». Il poursuit que «cette institution qui vient d’être créée contribuera sans nul doute à renforcer les capacités des négociateurs mais aussi et surtout permettra d’éclairer les décideurs sur les enjeux des négociations internationales, qu’elles soient multilatérales ou régionales».
Pour rappel en 2001, les membres de l’OMC avaient lancé le programme de Doha pour le développement. Mais, les engagements pris dans le cadre des négociations commerciales multilatérales n’ont pas été respectés. Cette situation est due à la crise économique et financière de ces dernières années qui ont eu un impact certain sur l’évolution des négociations à l’OMC.
A cela s’ajoute une meilleure maîtrise des négociations par les Africains et les pays en développement émergents (Chine, Inde, Brésil, Afrique du Sud, etc.) qui jouent un rôle de plus en plus important sur le commerce mondial.
Les cadres de la sous région se sont réunis ce matin pour donner leur point de vue sur les processus de négociation en Afrique. «Les pays africains doivent mieux se parler entre eux pour avoir les meilleurs résultats», affirme M. El Hadji Diouf, Directeur Exécutif de l’Agence africaine pour le commerce et le développement. Pour lui, «l’Afrique a besoin d’une vraie mise en cohérence et des experts qui pourraient le défendre dans les processus de négociation».
Le représentant du Ministre du Commerce a pour sa part, remercié le Directeur de l’agence 2ACD qui est «une structure dédiée à l’assistance technique pour l’Afrique». Il poursuit que «cette institution qui vient d’être créée contribuera sans nul doute à renforcer les capacités des négociateurs mais aussi et surtout permettra d’éclairer les décideurs sur les enjeux des négociations internationales, qu’elles soient multilatérales ou régionales».
Pour rappel en 2001, les membres de l’OMC avaient lancé le programme de Doha pour le développement. Mais, les engagements pris dans le cadre des négociations commerciales multilatérales n’ont pas été respectés. Cette situation est due à la crise économique et financière de ces dernières années qui ont eu un impact certain sur l’évolution des négociations à l’OMC.
A cela s’ajoute une meilleure maîtrise des négociations par les Africains et les pays en développement émergents (Chine, Inde, Brésil, Afrique du Sud, etc.) qui jouent un rôle de plus en plus important sur le commerce mondial.
Autres articles
-
Un Inspecteur et Contrôleur du travail révèle : "En 2023, sur les 5275 établissements contrôlés, 2677 ont été convoqués..."
-
Accident à Koungheul : le ministère de la Santé fait le point et annonce un lourd bilan (14 morts et 54 blessés)
-
VDN 3 de Guédiawaye : Un lutteur qui y semé la terreur arrêté
-
Détachement sénégalais engagé en Gambie : un (1) mort et huit (8) blessés dans un accident de la route
-
Tribunal de Dakar : ils investissent dans un projet "Tokk mouy dokh" et se font gruger près de 700 millions de FCFA