Le projet de loi portant sur le référendum adopté en même temps que son décret de publication, hier en Conseil des ministres, le compte à rebours est lancé pour la consultation du peuple ce 20 mars 2016. Et on en sait un peu plus sur ledit rendez-vous. Le coût global est de deux (2) milliards de F CFA et douze (12) millions de bulletins, six (6) millions pour le «Oui» et six (6) millions pour le «Non». Donnant ces chiffres, le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique n’a pas manqué de répondre au Front Patriotique pour la Défense de la République (FPDR) qui l’accuse d’ourdir un plan.
«Nous tirerons au maximum douze (12 millions de bulletins de vote, six (6) millions de «Oui» et six (6) millions de «Non». Dans ces conditions, le coût de l’organisation du référendum ne devrait pas dépasser les deux milliards,…», a déclaré Abdoulaye Daouda Diallo en marge de la célébration à Yoff de la Journée mondiale de la protection civile.
«Il m’est reproché de ne pas autoriser tous les partis qui le souhaiteraient à intervenir dans les bureaux de vote», poursuit-il en indiquant : «Je rappelle que nous ne sommes pas dans une élection, un référendum est une consultation du peuple. Il peut y avoir des partis qui diront «Oui», d’autres qui diront «Non»…Ceux qui sont dans le courant du «Oui» se retrouveront entre eux pour désigner leur représentant et ceux qui diront «Non» pourraient se réunir pour désigner leur représentant ».
Pour la tutelle, «on ne peut pas objectivement autoriser 258 partis politiques à se faire représenter dans un bureau de vote, c’est un non-sens». C’est ainsi qu’il y aura un superviseur du «Oui » et un (1) du «Non».
«Nous tirerons au maximum douze (12 millions de bulletins de vote, six (6) millions de «Oui» et six (6) millions de «Non». Dans ces conditions, le coût de l’organisation du référendum ne devrait pas dépasser les deux milliards,…», a déclaré Abdoulaye Daouda Diallo en marge de la célébration à Yoff de la Journée mondiale de la protection civile.
«Il m’est reproché de ne pas autoriser tous les partis qui le souhaiteraient à intervenir dans les bureaux de vote», poursuit-il en indiquant : «Je rappelle que nous ne sommes pas dans une élection, un référendum est une consultation du peuple. Il peut y avoir des partis qui diront «Oui», d’autres qui diront «Non»…Ceux qui sont dans le courant du «Oui» se retrouveront entre eux pour désigner leur représentant et ceux qui diront «Non» pourraient se réunir pour désigner leur représentant ».
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