Le principe de la tolérance zéro appliqué à la surveillance des examens scolaires notamment le Brevet de Fin d’Etudes Moyennes (BFEM) porte déjà ses fruits. Au deuxième jour des examens du vendredi un jeune candidat est pris en flagrant délit de tricherie au centre du collège Amadou Mapathé Diagne de la commune de Sédhiou.
Son grand frère et complice qui lui a remis le corrigé des épreuves reste toujours introuvable. Quant au candidat malheureux, il est en garde à vue à la brigade de gendarmerie en attendant d’être déféré au parquet de Kolda ce lundi.
Deux autres candidats du même centre n’ont pas été autorisés à réintégrer les salles de classe au motif que des bouts de papier avaient été retrouvés dans leur poche ayant un lien avec le sujet traité. Une situation inédite et très malencontreuse pour ce collège qui a toujours été un établissement de référence en termes de résultats scolaires.
Par ailleurs et dans un tout autre registre, des candidats de différents centres de la région de Sédhiou dont les dossiers sont égarés ne n’ont pas du tout composé. L’inspection départementale de l’Education et les chefs de d’établissement concernés se rejettent mutuellement la balle de la négligence. « Nous avons bel et bien déposé les dossiers des candidats avec un numéro d’envoi le 13 mars 2009 mais c’est au niveau de l’inspection que les dossiers se sont égarés des mains des responsables du bureau des examens et concours.
Toutefois, il y’a certains des candidats qui composent finalement je ne sais par quel moyen mais nous nous avons déposé les dossiers des enfants » déclare Souleymane Sadio le principal du collège de Sansamba.
L’inspecteur départemental que nous avons interrogé sur la question note que « dans un premier temps, les dossiers avaient bel et bien présenté au bureau des examens et concours mais ils ont fait l’objet d’un rejet parce que non complet. Et depuis, nous n’avons plus revu de dossier » a souligné avec force El hadji Cissé.
A relever que tous ces cas sont des candidats libres. Ils demandent l’organisation d’une session en octobre prochain pour corriger le mal.
Son grand frère et complice qui lui a remis le corrigé des épreuves reste toujours introuvable. Quant au candidat malheureux, il est en garde à vue à la brigade de gendarmerie en attendant d’être déféré au parquet de Kolda ce lundi.
Deux autres candidats du même centre n’ont pas été autorisés à réintégrer les salles de classe au motif que des bouts de papier avaient été retrouvés dans leur poche ayant un lien avec le sujet traité. Une situation inédite et très malencontreuse pour ce collège qui a toujours été un établissement de référence en termes de résultats scolaires.
Par ailleurs et dans un tout autre registre, des candidats de différents centres de la région de Sédhiou dont les dossiers sont égarés ne n’ont pas du tout composé. L’inspection départementale de l’Education et les chefs de d’établissement concernés se rejettent mutuellement la balle de la négligence. « Nous avons bel et bien déposé les dossiers des candidats avec un numéro d’envoi le 13 mars 2009 mais c’est au niveau de l’inspection que les dossiers se sont égarés des mains des responsables du bureau des examens et concours.
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A relever que tous ces cas sont des candidats libres. Ils demandent l’organisation d’une session en octobre prochain pour corriger le mal.
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