Aliou Ndiouck explique que le Premier ministre a demandé une évaluation approfondie des agences d’exécution afin de procéder à un reclassement de ces structures. Il détaille : « Lorsqu’une agence passe d’une catégorie 1 à une catégorie 2, 3 ou 4, cela peut impliquer une révision à la baisse des rémunérations des dirigeants, tels que les Directeurs généraux, les Présidents des Conseils d’Administration (PCA) et des agents concernés. Toutefois, cela ne signifie en aucun cas une baisse généralisée des salaires pour l’ensemble des fonctionnaires. »
L’économiste admet que cette situation contribue à un climat de tension sociale, alimenté par diverses interprétations. Il identifie deux principaux facteurs expliquant cette crispation. D’abord, l’État cherche à maîtriser ses charges salariales. Ce qui conduit certaines administrations à revoir les recrutements, en particulier les Contrats à Durée Indéterminée (CDI) réalisés avant les élections. Ensuite, il pointe les difficultés rencontrées par le secteur privé, notamment dans le BTP et certains segments du secteur tertiaire, où une stagnation, voire une baisse des salaires, a été observée.
Ainsi, selon Aliou Ndiouck, bien qu'il y ait des ajustements dans certains secteurs, il n'y a pas de plan de réduction des salaires généralisé au sein de la fonction publique. Le processus actuel vise à optimiser la gestion des ressources publiques tout en répondant aux défis économiques du pays.
L’économiste admet que cette situation contribue à un climat de tension sociale, alimenté par diverses interprétations. Il identifie deux principaux facteurs expliquant cette crispation. D’abord, l’État cherche à maîtriser ses charges salariales. Ce qui conduit certaines administrations à revoir les recrutements, en particulier les Contrats à Durée Indéterminée (CDI) réalisés avant les élections. Ensuite, il pointe les difficultés rencontrées par le secteur privé, notamment dans le BTP et certains segments du secteur tertiaire, où une stagnation, voire une baisse des salaires, a été observée.
Ainsi, selon Aliou Ndiouck, bien qu'il y ait des ajustements dans certains secteurs, il n'y a pas de plan de réduction des salaires généralisé au sein de la fonction publique. Le processus actuel vise à optimiser la gestion des ressources publiques tout en répondant aux défis économiques du pays.
Autres articles
-
Plan Diomaye pour la Casamance : le taux d’exécution du projet est de 46%, selon le comité de pilotage
-
Montrolland adopte un budget 2026 de près d’un milliard FCFA axé sur l’investissement et l’innovation
-
Affaire des fonds Covid : liberté provisoire accordée à Mouhamadou Bamba Amar
-
Extradition de Doro Gueye : «Le délibéré est suspendu» à cause d’un «dossier bâclé et mal ficelé», selon Madiambal
-
Gouvernance : le FDR accuse le régime d’aggraver la situation économique




Plan Diomaye pour la Casamance : le taux d’exécution du projet est de 46%, selon le comité de pilotage


