
Le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (Jnim, en arabe), affilié à al-Qaïda, a revendiqué vendredi 10 janvier dans un communiqué l'attaque ayant tué au moins 28 soldats béninois mercredi dans le nord du pays, à la frontière avec le Niger et le Burkina Faso. Cette attaque a suscité une vive émotion dans l'opinion publique et dans les partis politiques, toutes tendances confondues.
« Nos frères les moudjahidines ont pu prendre d'assaut un poste de l'armée béninoise à Ouda dans la province de Karimama. Cette opération s'est soldée par la mort de plus de 30 éléments », détaille le Jnim dans un communiqué, cité par l'ONG américaine SITE Intelligence Group.
Quarante-huit heures après l'attaque, les sources militaires, contactées par notre correspondant Jean-Luc Aplogan, en restent toujours à 28 soldats tués. Un bilan qui pourrait évoluer, tout dépend de l’état de santé dans lequel se trouvent les rescapés. Aucune information n'est disponible pour le moment. L'armée informe actuellement les familles des victimes.
« Nos frères les moudjahidines ont pu prendre d'assaut un poste de l'armée béninoise à Ouda dans la province de Karimama. Cette opération s'est soldée par la mort de plus de 30 éléments », détaille le Jnim dans un communiqué, cité par l'ONG américaine SITE Intelligence Group.
Quarante-huit heures après l'attaque, les sources militaires, contactées par notre correspondant Jean-Luc Aplogan, en restent toujours à 28 soldats tués. Un bilan qui pourrait évoluer, tout dépend de l’état de santé dans lequel se trouvent les rescapés. Aucune information n'est disponible pour le moment. L'armée informe actuellement les familles des victimes.
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