Des accrochages ont causé ce dimanche deux blessés du côté des soldats sénégalais et une dizaine chez les assaillants.
Selon un témoin interrogé par la Rfm, tout a commencé quand des éléments sensés appartenir MFDC ont été interceptés par les forces de sécurité au moment où ils tentaient un braquage.
C’est alors en ce moment que les échanges de tirs ont commencé entre la commune et le village de Tangory qui est à quelques pas de Bignona.
«Ce sont des tirs qui sont très perceptibles dans la commune de Bignona. Ils se font à quelques moins de 500 mètres de la commune de Bignona», a-t-il témoigné.
Il indique que toute la vie est au point mort. «Visiblement, ce sont des échanges qui ont perturbé toute la ville. Les marchés sont aux arrêts ; les boutiques ont fermé les portes ; les ateliers qui sont sur la route nationale ont tous décidé de ranger leurs bagages. Les coups de fusil viennent de partout et le bruit est très présent dans la ville», a encore fait savoir le témoin.
«Tout le monde est bouleversé. Personne ne sait à quoi s’en tenir. Il semble même que les populations qui ne sont pas loin de la zone d’opération sont en train de quitter pour se protéger dans des endroits plus sûrs», a conclu le témoin qui intervenait à partir de Bignona.
Par ailleurs, le ministre de la Jeunesse, Mamadou Lamine Kéïta, qui était en route pour rejoindre la capitale du Fogny, dont il est le maire, a dû rebrousser chemin sur conseil de l’armée sénégalaise.
Selon un témoin interrogé par la Rfm, tout a commencé quand des éléments sensés appartenir MFDC ont été interceptés par les forces de sécurité au moment où ils tentaient un braquage.
C’est alors en ce moment que les échanges de tirs ont commencé entre la commune et le village de Tangory qui est à quelques pas de Bignona.
«Ce sont des tirs qui sont très perceptibles dans la commune de Bignona. Ils se font à quelques moins de 500 mètres de la commune de Bignona», a-t-il témoigné.
Il indique que toute la vie est au point mort. «Visiblement, ce sont des échanges qui ont perturbé toute la ville. Les marchés sont aux arrêts ; les boutiques ont fermé les portes ; les ateliers qui sont sur la route nationale ont tous décidé de ranger leurs bagages. Les coups de fusil viennent de partout et le bruit est très présent dans la ville», a encore fait savoir le témoin.
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