Selon le président de la Conférence épiscopale Burkina Faso–Niger, quatre catholiques sont morts ce lundi, toujours dans le Nord, au cours d'une procession religieuse. Des morts qui s'ajoutent aux victimes de l'attaque de l'église de Dablo qui ont été inhumées dimanche.
Monseigneur Paul Ouédraogo, le président de la Conférence épiscopale Burkina Faso–Niger, a évoqué cette nouvelle attaque à l’occasion d'une réunion des évêques d’Afrique de l'Ouest à Ouagadougou. Cette réunion était prévue de longue date, mais désormais elle se tient dans un contexte bien particulier.
L’ombre des différentes attaques terroristes contre l’église et contre le Burkina Faso a plané sur la cérémonie d’ouverture de cette troisième assemblée plénière des évêques d’Afrique de l’Ouest. Le président de la Conférence épiscopale du Niger a dénoncé ces attaques dans un discours. Il a demandé d’ailleurs une minute de silence à la mémoire des victimes. Des attaques qui, selon lui, ont visé l’Église et ses symboles.
Alors, le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, quant à lui, a demandé aux évêques d’Afrique de contribuer au maintien de la cohésion sociale car, dit-il, « ce qui menace le Burkina Faso, c’est un conflit interreligieux et intercommunautaire, et tel est l’objectif visé par les terroristes, un objectif qu’ils n’atteindront pas si tout le monde reste soudé et uni ».
Monseigneur Paul Ouédraogo, le président de la Conférence épiscopale Burkina Faso–Niger, a évoqué cette nouvelle attaque à l’occasion d'une réunion des évêques d’Afrique de l'Ouest à Ouagadougou. Cette réunion était prévue de longue date, mais désormais elle se tient dans un contexte bien particulier.
L’ombre des différentes attaques terroristes contre l’église et contre le Burkina Faso a plané sur la cérémonie d’ouverture de cette troisième assemblée plénière des évêques d’Afrique de l’Ouest. Le président de la Conférence épiscopale du Niger a dénoncé ces attaques dans un discours. Il a demandé d’ailleurs une minute de silence à la mémoire des victimes. Des attaques qui, selon lui, ont visé l’Église et ses symboles.
Alors, le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, quant à lui, a demandé aux évêques d’Afrique de contribuer au maintien de la cohésion sociale car, dit-il, « ce qui menace le Burkina Faso, c’est un conflit interreligieux et intercommunautaire, et tel est l’objectif visé par les terroristes, un objectif qu’ils n’atteindront pas si tout le monde reste soudé et uni ».
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