Certains participants parlent d'une première historique. Des représentants de l'opposition regroupés au sein du Conseil national pour le respect de l'Accord d'Arusha pour la paix et la réconciliation au Burundi et la restauration de l'Etat de droit (Cnared), de la société civile indépendante du Burundi et de la diaspora burundaise du monde entier se sont retrouvés pendant trois jours en Belgique.
Leur objectif ? Mettre en commun leurs forces afin de présenter un front uni pour lutter plus efficacement contre le pouvoir de Pierre Nkurunziza. Pancrace Cimpaye, qui est membre du Cnared, est un des porte-paroles de ce mouvement : « Ce n’est pas une fusion. Chaque entité garde son identité, mais il reste possible de mettre en place une passerelle entre les trois entités afin de coordonner, d’harmoniser les actions civiles et dynamiques nobles de la restauration de l’Etat de droit au Burundi. C’est une question de vie ou de mort ».
Il assure que leur réunion a été un véritable succès. A la fin de cette rencontre, dimanche, les 34 personnalités présentes ont mis en place un plan d’actions communes et un comité de coordination, tenus secrets jusqu'ici. Ils ont également créé un comité de conciliation et de médiation, dirigé par Pierre-Claver Mbonimpa, figure emblématique de la société civile burundaise aujourd'hui en exil : « On ne va pas accepter de continuer à vivre comme nous vivons aujourd’hui, comme la population vit aujourd’hui. Nous devons absolument, il faut que l’Etat de droit soit établi coûte que coûte ».
Le pouvoir burundais n'a pas encore réagi jusqu'ici, mais certains ont raillé sur twitter « l'incapacité de l'opposition burundaise à s'unir ».
Leur objectif ? Mettre en commun leurs forces afin de présenter un front uni pour lutter plus efficacement contre le pouvoir de Pierre Nkurunziza. Pancrace Cimpaye, qui est membre du Cnared, est un des porte-paroles de ce mouvement : « Ce n’est pas une fusion. Chaque entité garde son identité, mais il reste possible de mettre en place une passerelle entre les trois entités afin de coordonner, d’harmoniser les actions civiles et dynamiques nobles de la restauration de l’Etat de droit au Burundi. C’est une question de vie ou de mort ».
Il assure que leur réunion a été un véritable succès. A la fin de cette rencontre, dimanche, les 34 personnalités présentes ont mis en place un plan d’actions communes et un comité de coordination, tenus secrets jusqu'ici. Ils ont également créé un comité de conciliation et de médiation, dirigé par Pierre-Claver Mbonimpa, figure emblématique de la société civile burundaise aujourd'hui en exil : « On ne va pas accepter de continuer à vivre comme nous vivons aujourd’hui, comme la population vit aujourd’hui. Nous devons absolument, il faut que l’Etat de droit soit établi coûte que coûte ».
Le pouvoir burundais n'a pas encore réagi jusqu'ici, mais certains ont raillé sur twitter « l'incapacité de l'opposition burundaise à s'unir ».
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