Le contexte sécuritaire se dégrade en Centrafrique avec l’offensive des groupes armés qui tentent de rejoindre la capitale Bangui. Reçu sur RFI, Hans De Marie Heungoup, chercheur sur l’Afrique centrale à International Crisis Group fait constater la difficulté de tenir des élections libres, crédibles et transparente de ce contexte.
« Compte tenu de l’évolution des évolutions sécuritaires récentes, nous avons le sentiment et l’impression qu’il serait difficile d’arriver à des élections crédibles dans un contexte où ni le parti au pouvoir ni l’opposition n’a véritablement puis faire campagne en dehors de la capitale Bangui », a-t-il expliqué.
Alors que les groupes armés menacent l’intégrité du scrutin, le gouvernement a accusé l’ancien président François Bozizé de vouloir fomenter un coup d’Etat. Un accusation dénoncée par le parti de l’ancien président.
« Compte tenu de l’évolution des évolutions sécuritaires récentes, nous avons le sentiment et l’impression qu’il serait difficile d’arriver à des élections crédibles dans un contexte où ni le parti au pouvoir ni l’opposition n’a véritablement puis faire campagne en dehors de la capitale Bangui », a-t-il expliqué.
Alors que les groupes armés menacent l’intégrité du scrutin, le gouvernement a accusé l’ancien président François Bozizé de vouloir fomenter un coup d’Etat. Un accusation dénoncée par le parti de l’ancien président.
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