"Cette initiative est régulière, justifiée et pertinente. Néanmoins, elle porte sur un nombre important de titres et d’articles, qui transforment fondamentalement l’actuelle Constitution, d’où l’éventualité et la nécessité de la réécriture d’un nouveau texte. Le Conseil dans sa quasi-totalité a fait noter qu’une Constitution n’est pas par nature immuable. Elle doit s’adapter avec l’évolution du temps, et aussi des contextes socio-politico-économiques. Il existe bel et bien, dans les dispositions constitutionnelles, des faiblesses et aussi des inadaptations qu’il faut absolument corriger. Le gouvernement ayant noté que l’initiative vient de l’Assemblée nationale lui a demandé de réexaminer sa proposition en tenant compte des aspirations profondes du peuple centrafricain."
Autres articles
-
Guinée: une présidentielle qui marque le retour à l'ordre constitutionnel
-
Hong Kong: Jimmy Lai, figure du camp pro-démocratie, condamné au nom de la sécurité nationale
-
Est de la RDC: comment réagit la communauté internationale à l’offensive de l’AFC/M23
-
Commerce: une taxe de 3 euros imposée sur tous les petits colis importés dans l'UE à partir du 1er juillet 2026
-
Tentative de coup d’État au Bénin: le chef de la diplomatie nigériane réagit à l’appui militaire d’Abuja





Guinée: une présidentielle qui marque le retour à l'ordre constitutionnel


