La terreur qui s’empare des populations du cercle de Koro est à son paroxysme avec la découverte du corps sans vie d’une jeune fille tuée dans cette localité. La victime, selon le communiqué du maire, a entre 16 à 20 ans. Elle est de teint clair et habillée tout en bleu (pantalon, boubou et foulard), explique le maire Djimé dans son communiqué. « Elle porte des tresses de mèches synthétiques et mesure 1,60 mètre », précise la mairie de Koro.
Même si dans le communiqué les circonstances de la mort de la jeune fille n’ont pas été expliquées, le maire de Koro nous a fait des révélations quand nous l’avons joint par téléphone. A ses dires, la mort de la jeune fille n’est pas naturelle. « Elle a été égorgée puis laissé à 800 mètres de Kini, un hameau entre Orodourou et Deguebomo», nous confie Atimé Djimdé. Il affirme aussi qu’une partie de la main de la victime a été coupée quand elle a essayé de se défendre. « En voyant la photo, on comprend qu’elle s’est battue. Sa main a été coupée », déplore notre interlocuteur.
A en croire le maire, Atimé Djimdé, les enquêtes sont en cours pour mettre la main sur les auteurs de ce crime. « Nos populations ont trop souffert. Il faut mettre fin à cette insécurité », dit-il, avec amertume.
Après ce crime odieux, M. Djimé exhorte les populations de Koro à plus de vigilance face à cette insécurité grandissante. Par la même occasion Il invite l’Etat à circonscrire ces pratiques de plus en plus nombreuses au pays Dogon.
Il est intéressant de noter que jusqu’au samedi 10 novembre 2018, les parents de la défunte n’étaient pas encore retrouvés.
Même si dans le communiqué les circonstances de la mort de la jeune fille n’ont pas été expliquées, le maire de Koro nous a fait des révélations quand nous l’avons joint par téléphone. A ses dires, la mort de la jeune fille n’est pas naturelle. « Elle a été égorgée puis laissé à 800 mètres de Kini, un hameau entre Orodourou et Deguebomo», nous confie Atimé Djimdé. Il affirme aussi qu’une partie de la main de la victime a été coupée quand elle a essayé de se défendre. « En voyant la photo, on comprend qu’elle s’est battue. Sa main a été coupée », déplore notre interlocuteur.
A en croire le maire, Atimé Djimdé, les enquêtes sont en cours pour mettre la main sur les auteurs de ce crime. « Nos populations ont trop souffert. Il faut mettre fin à cette insécurité », dit-il, avec amertume.
Après ce crime odieux, M. Djimé exhorte les populations de Koro à plus de vigilance face à cette insécurité grandissante. Par la même occasion Il invite l’Etat à circonscrire ces pratiques de plus en plus nombreuses au pays Dogon.
Il est intéressant de noter que jusqu’au samedi 10 novembre 2018, les parents de la défunte n’étaient pas encore retrouvés.
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