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Coiffure : un marché florissant

Les salons de coiffure ont le vent en poupe à l’approche de la fête de Tabaski. Ils sont devenus les lieux de convergence privilégiés des femmes. C’est ainsi qu’à cette veille de fête, les salons de coiffure constituent un marché lucratif. Les chiffres d’affaire varient de 800 milles à millions tandis que le nombre de têtes traitées peut être évalué entre 20 et 40 selon la notoriété du salon.



Les salons de coiffure ne désemplissent pas en cette fête de Tabaski
Les salons de coiffure ne désemplissent pas en cette fête de Tabaski
A quelques jours de la Tabaski, les salons de beauté et de coiffure sont des lieux ou converge la gent féminine. Des filles aux grandes dames, personnes ne s’y échappe. Les propriétaires de salons de coiffure se frottent les mains et témoignent.

«Les choses se passent bien même si la fête de Korité rapporte plus que celle de la Tabaski. La raison, elle est simple. La plupart des femmes qui se rendent dans les régions pour y passer les fêtes, se coiffent chez eux alors que celles qui attendent la dernière minute pour partir se font belle à Dakar d’abord avant de rejoindre leurs familles», a confié la gérante d’un salon «Ndeye Coumba» situé à la Sicap Amitié 2, Mme Ndiaye née Maman Tall. Elle a précisé que «les prix appliqués chez elle, oscillent entre 8000 et 10000 francs CFA».

Maman Tall est revenue sur les différentes coiffures qui sont les plus prisées en cette période. «Les petites têtes qui sont réalisées avec le greffage dit «noble». Il y a aussi «ultra», les tresses et chignons, greffages «si kaname (devant)» pour les tissages simples avec brushing sans oublier «super carol» et «lolita» de Nina», a-t-il expliqué.

Si une bonne frange des filles préfèrent ce sont ce genre de coiffures, ce n’est pas le cas pour les grandes dames. Selon Mme Ndiaye, elles se paient des greffages de types cheveux naturels venant de l’étranger (Inde, Italie, Espagne ou USA). «Les prix qui leur sont appliquées sont compris entre 35000 et 100000 francs CFA», a-t-elle indiqué.

Le Salon «Ndèye Coumba» qui ne compte que sept (7) coiffeuses peut recevoir entre 20 et 40 clientes par jours en cette période de fête. La gérante ne s’est pas privée d’évaluer son chiffre d’affaire qui peut aller jusqu'à 800000 francs CFA pour la tabaski et 1000000 francs Cfa pour la korité».

A l’avenue Bourguiba à côté du carrefour Castor, se trouve un salon non moins célèbre. «Latifah» de Awa Ndao est devenue une référence pour les grandes dames. C’est à l’entrée que l’on se rende compte que ce salon est déjà bien rempli. Au moment où les coiffeuses s’affairent certaines têtes, des clientes sont en train d’attendre.
La gérante étant absente, c’est une cliente qui a requis l’anonymat qui se prête à nos questions. Cette dernière a évoqué des types de coiffures qu’elle a l’habitude de faire et un peu des prix. Et souligner : «on fait un peu de tout (coiffure cérémonie, chignons haut et bas, tissages simples). Mais sa spécialité, ce sont les petites têtes. C’est pour cette raison qu’on surnomme Awa Ndao «la reine de la petite tête».

La cliente a, en effet, ajouté que «les prix pratiqués dans ce salon varient entre 20000 et 25000 francs CFA». Un tarif plus ou moins cher, mais que les femmes déboursent vu que c’est un lieu où on rencontre de nombreuses célébrités pour ne pas dire les femmes de la jet-set sénégalaise.

Ndèye Maty Diagne (Stagiaire)

Lundi 8 Décembre 2008 - 18:52


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1.Posté par SENE ADJA DIAKHATE le 12/06/2009 11:53
JE SUIS TA TANTE MAIS VRAIEMENT TU M INPRESSIONNES BEAUCOUP ET JE TE FELICITE NEANMOINS IL FAUT REDOUBLER EFFOORTS JUSQU A CE QUE TU ES DES DIXAINES DE SALON TOUT CE QUE TU FAIS DANS LA FAMILLE TOUT LE MONDE LE VOIT

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