Au cours de l’ouverture de cet atelier qui a réuni 23 pays francophones le Ministre du Commerce Amadou Niang a soutenu que «nous devons veiller à ce que les problèmes liés à l’environnement ne soient pas réglés aux dépens du commerce international et en particulier qu’il n’y ait pas là l’occasion de nous imposer une nouvelle conditionnalité écologique à l’accès au marché».
Il a expliqué aux participants que cet atelier doit leur permettre de comprendre les différents enjeux de ces négociations et faire prendre en compte les préoccupations de leurs pays au sein des comités de négociation. Sur un autre plan il a noté que «les Etats souhaitent conserver une large marge de manœuvre dans la définition et la mise en œuvre de leurs politiques environnementales»
Selon le Ministre du Commerce le but de cette rencontre consiste aussi à permettre aux experts de se réunir, d’échanger des informations pour que le patrimoine environnemental ne soit pas atteint dans le monde.
Les réglementations environnementales prennent une ampleur croissante et suscitent un développement extrêmement rapide du droit à l’environnement, aussi bien au plan international que national a-t-il fait savoir. Il a en plus promis que les résultats de ces travaux seront pris en compte dans le cadre des négociations de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC).
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