Le syndicat autonome des enseignants du spérieur (SAES) n’est pas d’accord avec l’organisation du concours à l’entrée au CESTI de cette année. Et exige la reprise pure et simple des épreuves. «La situation qui se passe actuellement au CESTI est à la limite intolérable», a dénoncé le Secrétaire général du SAES, section FLSH, EBAD et CESTI, Daha Chérif Bâ qui se demande comment est-il possible d’organiser des examens au concours des examens dans une telle institution sans respecter les normes académiques d’un concours.
A l’en croire, ce concours a été organisé sans la présence, l’aval et même la caution d’enseignant devant s’en occuper. «Cette situation est à la limite incompréhensible», a martelé M. Bâ au micro de la Rfm. «Il faudrait respecter un certain nombre de choses dans l’organisation de nos travaux pour que nos diplômes continuent à avoir une valeur sûre, pour que nos institutions universitaires, tel que le CESTI soient respectées», a suggéré le Secrétaire général du SAES, section FLSH, CESTI et EBAD.
Le syndicat des enseignants du Supérieur entend faire respecter son mot d’ordre. «Nous sommes prêts à user de tous les moyens légaux qui sont à notre disposition dans le cadre du syndicat pour qu’on puisse obtenir gain de cause», a menacé M. Bâ.
A l’en croire, ce concours a été organisé sans la présence, l’aval et même la caution d’enseignant devant s’en occuper. «Cette situation est à la limite incompréhensible», a martelé M. Bâ au micro de la Rfm. «Il faudrait respecter un certain nombre de choses dans l’organisation de nos travaux pour que nos diplômes continuent à avoir une valeur sûre, pour que nos institutions universitaires, tel que le CESTI soient respectées», a suggéré le Secrétaire général du SAES, section FLSH, CESTI et EBAD.
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