Des annonces contradictoires ont été faites ce jeudi 21 février au matin concernant le sort des sept otages français enlevés au Cameroun. Dans un premier temps des sources militaires avaient évoqué la libération des sept otages français et leur présence sur le sol nigérian. Cette information a été confirmée par le ministre français délégué aux Anciens combattants, Kader Arif. Puis, ce dernier est revenu sur ses propos en expliquant qu'il n'avait fait que relayer « des informations transmises par voie de presse ». Les autorités camerounaises n'ont jamais confirmé ces informations. Le ministre de la Communication les a même démenties. L'armée nigériane a clairement indiqué qu'elles étaient fausses.
Un collaborateur de GDF Suez et sa famille avaient été enlevés mardi 19 février dans le nord du Cameroun. « Un enlèvement odieux », selon les mots de François Hollande. L'enlèvement n'a jamais été revendiqué. Toutefois les soupçons se portaient sur la secte Boko Haram, implantée du côté nigérian de la frontière : une thèse avancée dès mardi par le chef de l'Etat français.
dépêche RFI
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