Affiches et banderoles, meetings et carnavals à travers les villes et villages du Congo, plus de 1 200 candidats se sont lancés hier, dès le début de la campagne pour les législatives du 15 juillet, à la conquête des suffrages. Le ministre de l’Intérieur a souhaité, dans un message radiotélévisé, que cette campagne se déroule dans un climat serein. « La campagne électorale, a-t-il dit, doit se passer sur toute l’étendue du territoire national, en toute sérénité, pour tous les candidats et en toute liberté ».
Avant l’ouverture de la campagne, l’Alliance pour la république et la démocratie une plateforme de l’opposition, a dénoncé les conditions d’organisation des élections: « Dans ce pays, dit son président, il n’y a pas de base fiable pour organiser une élection. Il faut d’abord constituer cette base sur trois éléments essentiels : le corps électoral, la commission d’organisation et le découpage électoral. Quand ces trois éléments seront réunis, nous pourrons aller aux élections ».
Le président de la commission d’organisation des élections, Henri Bouka, donne les garanties de transparence : « il faut que les populations, où qu’elles se trouvent, sachent que dans les bureaux de vote il y aura les membres du bureau, les observateurs et les délégués ». Le vote, qui concerne les 139 sièges de l’Assemblée nationale, n’aura pas lieu dans trois circonscriptions de Brazzaville touchées par les explosions du 4 mars.
Avant l’ouverture de la campagne, l’Alliance pour la république et la démocratie une plateforme de l’opposition, a dénoncé les conditions d’organisation des élections: « Dans ce pays, dit son président, il n’y a pas de base fiable pour organiser une élection. Il faut d’abord constituer cette base sur trois éléments essentiels : le corps électoral, la commission d’organisation et le découpage électoral. Quand ces trois éléments seront réunis, nous pourrons aller aux élections ».
Le président de la commission d’organisation des élections, Henri Bouka, donne les garanties de transparence : « il faut que les populations, où qu’elles se trouvent, sachent que dans les bureaux de vote il y aura les membres du bureau, les observateurs et les délégués ». Le vote, qui concerne les 139 sièges de l’Assemblée nationale, n’aura pas lieu dans trois circonscriptions de Brazzaville touchées par les explosions du 4 mars.
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