C'est en début d'après-midi que le général Mokoko a été extrait de sa cellule puis conduit devant le doyen des juges d'instruction pour être informé de cette nouvelle charge portée contre lui : « incitation au trouble à l'ordre public ».
De bonne source, cette nouvelle accusation serait directement liée aux appels à la désobéissance civile lancés par le candidat malheureux, au lendemain de la proclamation des résultats de présidentielle consacrant la réélection du président Sassou-Nguesso.
C'est un scénario prévu par la loi. A tout moment, au cours de l'instruction, explique un avocat, le procureur peut demander à ce que de nouveaux faits soient examinés. Me Ibouanga, principal avocat du général Mokoko, estime pourtant que le chef d'inculpation retenu est « sans fondement juridique », car explique-t-il, « il se fonde sur la loi régissant les partis politiques ». Or, le général Mokoko n'est affilié à aucun parti.
Conséquence sur la détention de Mokoko
Quoi qu'il en soit, cette nouvelle inculpation pourrait avoir une conséquence sur le court terme. Les deux procédures étant distinctes, si la cour d'appel décidait ce jeudi, comme le demandent ses avocats, d'une libération conditionnelle pour le général, du fait de cette accusation, et sauf rebondissement, il devrait tout de même rester en prison.
Source: Rfi.fr
De bonne source, cette nouvelle accusation serait directement liée aux appels à la désobéissance civile lancés par le candidat malheureux, au lendemain de la proclamation des résultats de présidentielle consacrant la réélection du président Sassou-Nguesso.
C'est un scénario prévu par la loi. A tout moment, au cours de l'instruction, explique un avocat, le procureur peut demander à ce que de nouveaux faits soient examinés. Me Ibouanga, principal avocat du général Mokoko, estime pourtant que le chef d'inculpation retenu est « sans fondement juridique », car explique-t-il, « il se fonde sur la loi régissant les partis politiques ». Or, le général Mokoko n'est affilié à aucun parti.
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