«La mairie avait du mal à recevoir les rôles d’impôts pour les patentes. Nous les avons reçus tardivement au mois de juillet et pour le patrimoine bâti, nous ne sommes pas encore entrés dans nos fonds pour 2016 alors que nous sommes au mois de novembre. 2016 a été une année compliquée, pleine d’incertitudes et d’inquiétudes », a déclaré Khalifa Sall.
Mais, se résigne l’édile de Dakar, ce n’est pas une excuse car : «quand on gère, il faut de la prévisibilité»,
Néanmoins, le maire de Dakar soutient qu’il a pu réaliser certains de ses chantiers grâce à des politiques mises en œuvre. C’est le cas notamment de la voierie qui est en cours de réalisations grâce à des financements extérieurs »
Selon lui, il n’y a que trois projets qui n’ont pas encore démarré. «Il s’agit de la rénovation de la Place de l’Indépendance bloquée par un tuyau de la Sde ou de la Sones qui doit être déplacé et le problème du financement. Il y a aussi le projet de gazon synthétique dont l’entreprise qui a gagné le marché a des problèmes avec sa banque. Le troisième chantier concerne la construction de l’hôpital des Parcelles Assainies avec 200 lits qui se heurte à la réglementation du code des marchés publics qui n’accepte pas le paiement intégral après livraison», affirme-t-il.
Mais, prévient-il, «nous risquons de revivre ces mêmes incertitudes pour l’année 2017».
Mais, se résigne l’édile de Dakar, ce n’est pas une excuse car : «quand on gère, il faut de la prévisibilité»,
Néanmoins, le maire de Dakar soutient qu’il a pu réaliser certains de ses chantiers grâce à des politiques mises en œuvre. C’est le cas notamment de la voierie qui est en cours de réalisations grâce à des financements extérieurs »
Selon lui, il n’y a que trois projets qui n’ont pas encore démarré. «Il s’agit de la rénovation de la Place de l’Indépendance bloquée par un tuyau de la Sde ou de la Sones qui doit être déplacé et le problème du financement. Il y a aussi le projet de gazon synthétique dont l’entreprise qui a gagné le marché a des problèmes avec sa banque. Le troisième chantier concerne la construction de l’hôpital des Parcelles Assainies avec 200 lits qui se heurte à la réglementation du code des marchés publics qui n’accepte pas le paiement intégral après livraison», affirme-t-il.
Mais, prévient-il, «nous risquons de revivre ces mêmes incertitudes pour l’année 2017».
Autres articles
-
Prise en charge des enfants de Didier Badji: Guy Marius Sagna adresse une question écrite au gouvernement
-
Bignona : le ministre du Travail démissionne du...
-
Le Président Diomaye a quitté Dakar pour participer au 15e Sommet de l'OCI à Banjul
-
Inauguration du nouveau siège de l’AICS au Sénégal : la Coopération italienne s’engage au développement durable
-
Cadre de concertation des citoyens : une présentation publique d'un manifeste prévue