Le président ivoirien Alassane Ouattara assiste à la parade militaire de la fête d'indépendance aux côtés du chef d'état-major des FRCI, le général Soumaïla Bakayoko, le 7 août 2012.
Trente deux détachements paradent devant Alassane Ouattara et ses plusieurs centaines d'invités. La cérémonie du 52ème anniversaire de l'indépendance est l'occasion de découvrir les membres des «Forces spéciales», une unité d'élite formée pour des missions sensibles. Des soldats du bataillon d'Akouédo défilent aussi, mais aucune allusion ne sera faite à l'attaque meurtrière de ce camp d'Abidjan.
La Grande chancelière de l’Ordre national Henriette Diabaté s'est voulue positive : «La Côte d’Ivoire sera encore mieux dans les mois à venir, notamment sur le chantier de la réconciliation. Il nous faut sans tarder nous expliquer, nous écouter les uns les autres pour que la justice et le pardon nous aident à ouvrir les chemins vers l’apaisement des cœurs et des esprits.»
Mais à Abidjan l'heure est plutôt à la discorde
Les accusations portées par le gouvernement ivoirien sur des membres du régime de Laurent Gbagbo ont attisé les rancœurs. Le FPI, parti de l'ancien président, nie fermement toute implication dans ces attaques. D'autres proches de Laurent Gbabgo demandent à ce que le désarmement et la réinsertion des ex-combattants – actuellement au ralenti – soient menés à bien.
Une chose est sûre ces derniers jours ont montré qu'une partie du dispositif sécuritaire en Côte d'Ivoire était encore fragile.
Source: RFI
La Grande chancelière de l’Ordre national Henriette Diabaté s'est voulue positive : «La Côte d’Ivoire sera encore mieux dans les mois à venir, notamment sur le chantier de la réconciliation. Il nous faut sans tarder nous expliquer, nous écouter les uns les autres pour que la justice et le pardon nous aident à ouvrir les chemins vers l’apaisement des cœurs et des esprits.»
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Les accusations portées par le gouvernement ivoirien sur des membres du régime de Laurent Gbagbo ont attisé les rancœurs. Le FPI, parti de l'ancien président, nie fermement toute implication dans ces attaques. D'autres proches de Laurent Gbabgo demandent à ce que le désarmement et la réinsertion des ex-combattants – actuellement au ralenti – soient menés à bien.
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Source: RFI
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