Merci mais non merci ! Voilà en substance la réponse du PDCI au gouvernement qui proposait de lui octroyer un siège -un 4e poste qui a été créé la semaine dernière par le gouvernement en signe de décrispation- au sein de la commission centrale de la CEI ainsi que dans les commissions locales en signe de décrispation.
L’année dernière, l'opposition avait déjà claqué la porte des négociations, estimant que le gouvernement n’envisageait qu’une recomposition à minima alors que selon elle il fallait tout remettre à plat.
Il faut dire que cette question de la CEI est un point central des griefs que l’opposition reproche au gouvernement. Et que même les partenaires internationaux de la Côte d’Ivoire s’inquiète de cette commission qui n’inclut pas les principaux partis d’opposition alors que se profilent des échéances électorales tendues.
Mais pour le PDCI le geste du gouvernement n’est pas suffisant. « Il ne s’agissait pas seulement d’obtenir une place au sein dudit organe, mais d’en obtenir une réforme qui assure l’égalité de tous devant la loi et la libre participation des citoyens aux affaires publiques du pays », écrit le numéro 2 du PDCI dans une lettre en date du 9 mars et adressée au ministre de l’Administration du territoire, Maurice Kakou Guikahue.
Le PDCI compte donc sur une décision favorable de la Cour africaine et décline d’ailleurs la proposition d’un éventuel accord. « La Cour nous a interrogés et vous également sur un règlement amiable sous son égide, si elle venait à retenir sa compétence. Notre parti (…) vous prie de bien vouloir réserver nos échanges à l’auguste institution devant laquelle nous comparaîtrons », écrit encore le secrétaire exécutif du PDCI, manifestement confiant dans l’issue.
L’année dernière, l'opposition avait déjà claqué la porte des négociations, estimant que le gouvernement n’envisageait qu’une recomposition à minima alors que selon elle il fallait tout remettre à plat.
Il faut dire que cette question de la CEI est un point central des griefs que l’opposition reproche au gouvernement. Et que même les partenaires internationaux de la Côte d’Ivoire s’inquiète de cette commission qui n’inclut pas les principaux partis d’opposition alors que se profilent des échéances électorales tendues.
Mais pour le PDCI le geste du gouvernement n’est pas suffisant. « Il ne s’agissait pas seulement d’obtenir une place au sein dudit organe, mais d’en obtenir une réforme qui assure l’égalité de tous devant la loi et la libre participation des citoyens aux affaires publiques du pays », écrit le numéro 2 du PDCI dans une lettre en date du 9 mars et adressée au ministre de l’Administration du territoire, Maurice Kakou Guikahue.
Le PDCI compte donc sur une décision favorable de la Cour africaine et décline d’ailleurs la proposition d’un éventuel accord. « La Cour nous a interrogés et vous également sur un règlement amiable sous son égide, si elle venait à retenir sa compétence. Notre parti (…) vous prie de bien vouloir réserver nos échanges à l’auguste institution devant laquelle nous comparaîtrons », écrit encore le secrétaire exécutif du PDCI, manifestement confiant dans l’issue.
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