« Profondément convaincus qu’une intervention militaire en Côte d’Ivoire, serait de nature à aggraver une situation qui est suffisamment tragique, et plongera à coup sûr le pays et la sous-région dans la tourmente, les signataires de la présente lettre ouverte en appellent aux opinions publiques de toutes les nations et aux gouvernements de tous les pays épris de démocratie, de paix et de liberté, afin d’enrayer la menace de guerre qui plane sur ce pays ».
Les ressortissants ivoiriens et sympathisants se sont donnés rendez-vous à l’auditorium de l’Ucad pour dire « non » à toute intervention militaire en signant cette pétition et en appelant à une mobilisation. Ils invitent le peuple ivoirien à ranger les armes et prônent une recherche de solution pacifique. Pour Babacar Touré, Président du Groupe Sud Communication, « le seul mot d’ordre c’est tous ensemble contre la guerre. Ce qui est en jeu c’est notre liberté de penser et d’agir ».
A la suite de M Touré, Mme Hamza, avocate au barreau de Côte d’Ivoire, dira que « nous sommes là pour la paix. Je m’indigne contre cette décision qui consiste à dire que nous allons envoyer des forces en Côte d’Ivoire pour déloger Gbagbo. C’est un complot international qui pense qu’il faut absolument sortir ce monsieur. Le Conseil Constitutionnel a proclamé des résultats, je m’en tient à ces derniers ».
Pour Babacar Justin Ndiaye, Journaliste, Politologue, « il ne s’agit pas de défendre l’Afrique mais il s’agit de défendre un certain nombre de valeurs. Je traite de la paix, de la dignité ivoirienne. Aucun français, à 20 ans, cheveux blonds, yeux bleus ne va mourir en Côte d’Ivoire, ce sont des contingents africains qui seront déployés. Le péché c’est d’avoir laissé la commission électorale non protégée. Le porte-parole a été empêché de prendre la parole devant la caméra. Le fait d’avoir proclamé les résultats est un péché, c’est ce qui est à l’origine de cette situation ».
En définitive, pour les initiateurs de cette pétition, « il est donc question ici et maintenant, d’aller à contre courant du lynchage médiatique de la Côte d’Ivoire et des appels au meurtre des va-t-en guerres et des boutefeux, et s’engager résolument pour la paix et non la guerre ».
Les ressortissants ivoiriens et sympathisants se sont donnés rendez-vous à l’auditorium de l’Ucad pour dire « non » à toute intervention militaire en signant cette pétition et en appelant à une mobilisation. Ils invitent le peuple ivoirien à ranger les armes et prônent une recherche de solution pacifique. Pour Babacar Touré, Président du Groupe Sud Communication, « le seul mot d’ordre c’est tous ensemble contre la guerre. Ce qui est en jeu c’est notre liberté de penser et d’agir ».
A la suite de M Touré, Mme Hamza, avocate au barreau de Côte d’Ivoire, dira que « nous sommes là pour la paix. Je m’indigne contre cette décision qui consiste à dire que nous allons envoyer des forces en Côte d’Ivoire pour déloger Gbagbo. C’est un complot international qui pense qu’il faut absolument sortir ce monsieur. Le Conseil Constitutionnel a proclamé des résultats, je m’en tient à ces derniers ».
Pour Babacar Justin Ndiaye, Journaliste, Politologue, « il ne s’agit pas de défendre l’Afrique mais il s’agit de défendre un certain nombre de valeurs. Je traite de la paix, de la dignité ivoirienne. Aucun français, à 20 ans, cheveux blonds, yeux bleus ne va mourir en Côte d’Ivoire, ce sont des contingents africains qui seront déployés. Le péché c’est d’avoir laissé la commission électorale non protégée. Le porte-parole a été empêché de prendre la parole devant la caméra. Le fait d’avoir proclamé les résultats est un péché, c’est ce qui est à l’origine de cette situation ».
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