Au niveau des entreprises, les cyberattaques visent tout ce qui peut atteindre l’intégrité de leurs données, leurs confidentialités et les services. Le plus grand piège, ce sont les attaques des entreprises qui vont vers la transformation numérique sans aucune sécurisation.
Il y a également les risques individuels des cyberespaces : il peut atteindre des individus, leurs réputations et leurs finances. On en voit plusieurs qui se manifestent comme les cyber-escrocs à travers les réseaux sociaux.
Ouanila Medegon de l’agence nationale de la sécurité des systèmes d’information au Bénin : « Que ce soit au Togo, en Chine ou en Côte d'Ivoire, le pirate ne fait pas de distinction. Donc une fois qu'il est dans le système, il peut étudier s'il y a un intérêt particulier, notamment si vous êtes une banque. Si vous êtes juste un petit site web, il va vous utiliser comme relai pour ses attaques et faire du DDOs sur de grands serveurs. » Il faut donc une hygiène numérique, ajoute Ouanilo Médégon
Mieux former face aux menaces
Ces menaces prendront une forme plus grave si l’Afrique ne se prépare pas, avertit Mawaki Chango, expert des politiques publiques digitales de Digilexis Consulting. Il propose deux pistes à cet effet : « Il faut être prêt à faire face aux menaces. Il faut former les gens. L'autre chainon qu'il faut vraiment accentuer, c'est la coopération. » Se protéger à un coût, mais ne pas se protéger à un coût plus important, précise l’expert.
Et face à ces menaces, l’Afrique ne doit pas se mettre à l’écart ou s’exclure de l’économie numérique. Il vaut mieux, disent les experts présents à Lomé, travailler afin que le numérique aide l’économie africaine à être plus productive qu’elle ne l’était sans le numérique. Ces différents types d'attaques risquent d'engranger près 180 milliards de francs CFA d'ici à 2025 et 712 milliards à la fin de 2050.
Il y a également les risques individuels des cyberespaces : il peut atteindre des individus, leurs réputations et leurs finances. On en voit plusieurs qui se manifestent comme les cyber-escrocs à travers les réseaux sociaux.
Ouanila Medegon de l’agence nationale de la sécurité des systèmes d’information au Bénin : « Que ce soit au Togo, en Chine ou en Côte d'Ivoire, le pirate ne fait pas de distinction. Donc une fois qu'il est dans le système, il peut étudier s'il y a un intérêt particulier, notamment si vous êtes une banque. Si vous êtes juste un petit site web, il va vous utiliser comme relai pour ses attaques et faire du DDOs sur de grands serveurs. » Il faut donc une hygiène numérique, ajoute Ouanilo Médégon
Mieux former face aux menaces
Ces menaces prendront une forme plus grave si l’Afrique ne se prépare pas, avertit Mawaki Chango, expert des politiques publiques digitales de Digilexis Consulting. Il propose deux pistes à cet effet : « Il faut être prêt à faire face aux menaces. Il faut former les gens. L'autre chainon qu'il faut vraiment accentuer, c'est la coopération. » Se protéger à un coût, mais ne pas se protéger à un coût plus important, précise l’expert.
Et face à ces menaces, l’Afrique ne doit pas se mettre à l’écart ou s’exclure de l’économie numérique. Il vaut mieux, disent les experts présents à Lomé, travailler afin que le numérique aide l’économie africaine à être plus productive qu’elle ne l’était sans le numérique. Ces différents types d'attaques risquent d'engranger près 180 milliards de francs CFA d'ici à 2025 et 712 milliards à la fin de 2050.
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