Dans un communiqué reçu de cette institution, on peut lire, « la CENA précise que quelle qu’en soit la motivation, le découpage administratif auquel peut procéder l’autorité gouvernementale traduit une volonté contre laquelle la mission de la CENA ne permet d’en apprécier ni l’opportunité ni le bien fondé. Toutefois, et la CENA a eu à en faire état dans son Rapport général sur les élections de 2009 et dans son Rapport annuel d’activités de 2010, les effets d’un découpage administratif sur l’accomplissement de sa mission de contrôle du processus électoral ne peuvent échapper à son examen ».
Voilà pourquoi, la Commission Electorale nationale Autonome (CENA) avait déjà indiqué dans son Rapport général sur les dernières élections locales de mars 2009 que : « les réformes portant sur le découpage administratif n’interviennent pas moins d’un an avant les élections que les modifications substantielles sur le code électoral n’aient pas lieu dans les six mois qui précédent le scrutin », mieux dans son Rapport annuel d’activités 2010, la CENA « avait recommandé de procéder aux réformes administratives au moins six mois avant le début de toute révision».
Un communiqué pour répondre aux politiques et membres de la société civile qui pensent que la CENA a délibérément ignoré le dossier des découpages administratifs.
Voilà pourquoi, la Commission Electorale nationale Autonome (CENA) avait déjà indiqué dans son Rapport général sur les dernières élections locales de mars 2009 que : « les réformes portant sur le découpage administratif n’interviennent pas moins d’un an avant les élections que les modifications substantielles sur le code électoral n’aient pas lieu dans les six mois qui précédent le scrutin », mieux dans son Rapport annuel d’activités 2010, la CENA « avait recommandé de procéder aux réformes administratives au moins six mois avant le début de toute révision».
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