La déclaration de Jacqueville a été adoptée en Côte d’Ivoire ce vendredi 28 avril 2023. Celle-ci a pour but défendre la liberté d’expression, la défense de la liberté de la presse et de la promotion des droits humains dans la région.
Dans le communiqué parvenu à PressAfrik, les journalistes et acteurs des médias en ligne des pays de l'Afrique de l'Ouest qui se sont réunis à Jacqueville pour cette rencontre régionale ont réaffirmé leur engagement en faveur de ladite déclaration.
« Nous sommes conscients que la liberté d'expression et la liberté de la presse sont des droits fondamentaux qui doivent être protégés par un régime de droit. Nous sommes également préoccupés par la précarité des journalistes en ligne et la nécessité de mettre en place un environnement règlementaire et économique propice à la viabilité des entreprises de presse en ligne », lit-on dans le document.
Toutefois, les acteurs des médias n’ont pas manqué de souligner et de déplorer, le fait que « les contenus des médias en ligne soient souvent repris, voire pillés par les grandes plateformes multinationales ; ce qui fragilise les entreprises productrices et met en danger la diversité des voix et des perspectives dans le cyberespace ».
Ainsi, ils appellent « à la régulation de l’activité des régies publicitaires internationales dans l’espace médiatique sous-régional qui assèche dangereusement les sources de recettes publicitaires de nos médias. Nous demeurons conscients du rôle crucial que jouent les journalistes en ligne dans la promotion de la démocratie, de la paix et du dialogue social dans l'espace numérique ».
À travers la déclaration de Jacqueville, les journalistes « s’engagent à renforcer la capacité des entreprises de presse et à promouvoir l'indépendance et le professionnalisme du journalisme en ligne ; à assurer l'indépendance des journalistes en ligne conformément aux principes fondamentaux du journalisme et aux textes nationaux et internationaux ; À intensifier la coopération entre les organisations professionnelles de la presse en ligne de l’Afrique de l’ouest avec le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme et développer la concertation en vue de la monétisation des contenus web ; (…), et à étendre le réseau des journalistes de la presse en ligne à l’échelle de la CEDEAO avec l’intégration des pays anglophones… »
Les organisations internationales de l'Afrique de l'Ouest notamment le Haut-Commissariat des Nations Unis aux droits de l’homme, ONU Femmes et l’UNESCO sont appelés à soutenir la mise en œuvre de cette déclaration.
Dans le communiqué parvenu à PressAfrik, les journalistes et acteurs des médias en ligne des pays de l'Afrique de l'Ouest qui se sont réunis à Jacqueville pour cette rencontre régionale ont réaffirmé leur engagement en faveur de ladite déclaration.
« Nous sommes conscients que la liberté d'expression et la liberté de la presse sont des droits fondamentaux qui doivent être protégés par un régime de droit. Nous sommes également préoccupés par la précarité des journalistes en ligne et la nécessité de mettre en place un environnement règlementaire et économique propice à la viabilité des entreprises de presse en ligne », lit-on dans le document.
Toutefois, les acteurs des médias n’ont pas manqué de souligner et de déplorer, le fait que « les contenus des médias en ligne soient souvent repris, voire pillés par les grandes plateformes multinationales ; ce qui fragilise les entreprises productrices et met en danger la diversité des voix et des perspectives dans le cyberespace ».
Ainsi, ils appellent « à la régulation de l’activité des régies publicitaires internationales dans l’espace médiatique sous-régional qui assèche dangereusement les sources de recettes publicitaires de nos médias. Nous demeurons conscients du rôle crucial que jouent les journalistes en ligne dans la promotion de la démocratie, de la paix et du dialogue social dans l'espace numérique ».
À travers la déclaration de Jacqueville, les journalistes « s’engagent à renforcer la capacité des entreprises de presse et à promouvoir l'indépendance et le professionnalisme du journalisme en ligne ; à assurer l'indépendance des journalistes en ligne conformément aux principes fondamentaux du journalisme et aux textes nationaux et internationaux ; À intensifier la coopération entre les organisations professionnelles de la presse en ligne de l’Afrique de l’ouest avec le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme et développer la concertation en vue de la monétisation des contenus web ; (…), et à étendre le réseau des journalistes de la presse en ligne à l’échelle de la CEDEAO avec l’intégration des pays anglophones… »
Les organisations internationales de l'Afrique de l'Ouest notamment le Haut-Commissariat des Nations Unis aux droits de l’homme, ONU Femmes et l’UNESCO sont appelés à soutenir la mise en œuvre de cette déclaration.
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