La politique politicienne ne pas être dissociée de la traque des biens mal acquis. En effet depuis son démarrage en grande pompe avec la convocation de personnalités qui avaient des responsabilités dans le régime de Me Wade, seules quelques unes ont été inquiétées. En dehors du cas de Karim Wade, c’est Tahibou Ndiaye qui a été jugé et déclarée coupable, c’est aussi le même sort réservé l’ancien directeur général du cadastre Tahibou Ndiaye et certaines de ses proches. Et, depuis lors cette traque qui avait été lancée par l’ancienne premier ministre, Aminata Touré à l’époque ministre de la justice est au ralenti et les vingt cinq (25), personnalités qui avaient citées vaquent tranquillement à leurs occupations. En dehors de ses agneaux du sacrifice tous les autres sont libres comme le vent.
Hormis Karim Wade et ses acolytes, toutes les autres qui avaient été explicitement citées par l’ancien procureur Alioune Ndao, le reste de la troupe hume l’air de la liberté et ne semblent pas inquiétés outre mesure. Ainsi après quatre années de traque. Seule Aida Ndiongue continue ses va et vient au palais de justice avec l’histoire des chantiers du plan Jaxay et les produits phytosanitaires.
Et, comme dans un conte de fée cette fois, la plupart des personnes dont leurs noms se trouvaient sur la liste du procureur Ndao sont presque blanchies et recyclées par le parti au pouvoir et mieux responsabilisées avec des portefeuilles. C’est las cas de Awa Ndiaye qui avait été l’époque épinglée par un rapport d’audit de la Cour des compte pour malversations surfacturations sur des cuillères avec l’histoire des cuillères ce qui lui a valu le sobriquet de «Awa coudou Ndiaye» coudou pour cuillère en langue locale wolof a bénéficié d’un non lieu. Une démarche confirmée par Mimi Touré qui a soutenu dans une radio de la place que «les gens ont le droit de militer ou ils veulent », une carte blanche donc servie à certains qui avaient déjà fait leurs bagages pour rejoindre la prairie marron beige.
Autre personnalité non moins inquiétée, c’est l’ancien bras droit de Karim Wade, Abdoulaye Baldé son cas prête à sourire car même Abdoulaye Wade disait à qui voulait l’entendre que s’il ya une personne doit répondre de l’organisation de la conférence islamique c’est bien lui. Un aveu de taille vraiment, mais que nenni.
Et, les autres leaders sous le régime libéral à défaut d’avoir fait leur mue en migrant vers l’Alliance pour la république ont disparu des radars. Ainsi quatre ans après son ouverture, la traque traine et les dignitaires se prélassent au soleil.
Hormis Karim Wade et ses acolytes, toutes les autres qui avaient été explicitement citées par l’ancien procureur Alioune Ndao, le reste de la troupe hume l’air de la liberté et ne semblent pas inquiétés outre mesure. Ainsi après quatre années de traque. Seule Aida Ndiongue continue ses va et vient au palais de justice avec l’histoire des chantiers du plan Jaxay et les produits phytosanitaires.
Et, comme dans un conte de fée cette fois, la plupart des personnes dont leurs noms se trouvaient sur la liste du procureur Ndao sont presque blanchies et recyclées par le parti au pouvoir et mieux responsabilisées avec des portefeuilles. C’est las cas de Awa Ndiaye qui avait été l’époque épinglée par un rapport d’audit de la Cour des compte pour malversations surfacturations sur des cuillères avec l’histoire des cuillères ce qui lui a valu le sobriquet de «Awa coudou Ndiaye» coudou pour cuillère en langue locale wolof a bénéficié d’un non lieu. Une démarche confirmée par Mimi Touré qui a soutenu dans une radio de la place que «les gens ont le droit de militer ou ils veulent », une carte blanche donc servie à certains qui avaient déjà fait leurs bagages pour rejoindre la prairie marron beige.
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