Après Volkswagen, Renault ? Le groupe français a confirmé, jeudi 14 janvier, que la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) s’était rendue la semaine dernière sur les sites technique de Lardy, au Technocentre et au siège du groupe à Boulogne-Billancourt "pour un complément d’investigation".
Scandale Volkswagen : les autres constructeurs trichent aussi sur les émissions de CO2
La DGCCRF a procédé à un complément d'enquête aux tests réalisés par la commission technique mise en place par la ministre de l'Écologie Ségolène Royal, dans le sillage du scandale Volkswagen. Une enquête qui a vocation à valider définitivement les premiers éléments d'analyse réalisés par la Commission technique indépendante", a indiqué le groupe dans un communiqué. Renault se veut rassurant et indique que le ministère de l'Écologie considère "que la procédure en cours ne mettrait pas en évidence la présence d'un logiciel truqueur équipant les véhicules Renault".
Cette perquisition réveille les craintes de voir l’affaire de manipulation des tests d'émissions polluantes dépasser le seul cas du groupe allemand. Il n’en fallait pas plus au titre de Renault pour dévisser à la Bourse de Paris. À la mi-journée, l’action perdait plus de 20 %.
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