
En prélude à la troisième édition du Salon africain de la recherche et des innovations au Sénégal et la deuxième édition de la Conférence africaine sur les énergies renouvelables, ses organisateurs ont organisé hier, une conférence de presse hier pour revenir sur le rôle important que doivent jouer l’Afrique en général et le Sénégal en particulier, pour la promotion de ces énergies qui, selon eux, constitue une alternative pour lutter contre le réchauffement climatique et un socle de développement.
Dans cette optique, le Sénégal qui, jusque-là tire 1% de la consommation de son énergie dans les énergies renouvelables, envisage de monter jusqu’à 20% en 2017. Ce qui est largement à sa portée, informe Abdou Fall, le président du Conseil patronal des énergies renouvelables du Sénégal (COPERES).
«L’idée est de permettre aux entreprises de pouvoir produire l’énergie qu’elles consomment et cela doit être dans l’ordre du possible si l’on sait qu’aujourd’hui à 1%, l’objectif est d’atteindre les 20% en 2017 et d’importantes réalisations sont en train de se faire dans ce domaine», a-t-il déclaré.
Mais, atteindre cet objectif ne sera pas facile, n’empêche, le résultat vaut tous les sacrifices. C’est ce que soutient Sophie Gladima Siby, directrice de l’Agence nationale de la recherche scientifique appliquée (ANSRA). Laquelle déclare qu’«il ne faut point lésiner sur la promotion de la recherche scientifique au Sénégal ». Mais plutôt, poursuit-elle expérimenter une nouvelle approche basée sur l’innovation».
Selon elle, le secteur des énergies constitue un socle prépondérant dans la réalisation du Plan Sénégal émergent, si l’on sait que le chef de l’Etat fait de ce secteur un maillon important car, il l’a identifié comme étant «un pilier majeur pour le développement de l’économie et pour la réduction des inégalités sociales et territoriales».
Cette conférence va se dérouler à Dakar les 25, 26 et 27 octobre prochains et portera comme thème : «La promotion des énergies renouvelables en Afrique : contribution de la recherche, des Tics, du secteur privé et de la société civile pour un développement durable».
Dans cette optique, le Sénégal qui, jusque-là tire 1% de la consommation de son énergie dans les énergies renouvelables, envisage de monter jusqu’à 20% en 2017. Ce qui est largement à sa portée, informe Abdou Fall, le président du Conseil patronal des énergies renouvelables du Sénégal (COPERES).
«L’idée est de permettre aux entreprises de pouvoir produire l’énergie qu’elles consomment et cela doit être dans l’ordre du possible si l’on sait qu’aujourd’hui à 1%, l’objectif est d’atteindre les 20% en 2017 et d’importantes réalisations sont en train de se faire dans ce domaine», a-t-il déclaré.
Mais, atteindre cet objectif ne sera pas facile, n’empêche, le résultat vaut tous les sacrifices. C’est ce que soutient Sophie Gladima Siby, directrice de l’Agence nationale de la recherche scientifique appliquée (ANSRA). Laquelle déclare qu’«il ne faut point lésiner sur la promotion de la recherche scientifique au Sénégal ». Mais plutôt, poursuit-elle expérimenter une nouvelle approche basée sur l’innovation».
Selon elle, le secteur des énergies constitue un socle prépondérant dans la réalisation du Plan Sénégal émergent, si l’on sait que le chef de l’Etat fait de ce secteur un maillon important car, il l’a identifié comme étant «un pilier majeur pour le développement de l’économie et pour la réduction des inégalités sociales et territoriales».
Cette conférence va se dérouler à Dakar les 25, 26 et 27 octobre prochains et portera comme thème : «La promotion des énergies renouvelables en Afrique : contribution de la recherche, des Tics, du secteur privé et de la société civile pour un développement durable».
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