Le gouvernement se dit prêt à faire des concessions afin de faciliter le dialogue politique. Une sortie du ministre de l’Intérieur, Aly Ngouille Ndiaye que Doudou Wade qualifie de «farce ». Selon le responsable libéral, il s’agit plutôt « de reconnaitre les erreurs du ministère de l’Intérieur en ce qui concerne l’organisation des élections législatives du 30 juillet dernier ». Et surtout, « de régler le cas Macky Sall qui semble être l’unique blocage de ce dialogue politique ».
« Le ministre de l’Intérieur me fait sourire. Il a, auparavant, en réponse au livre blanc sur les élections législatives fait des aveux sur l’inorganisation des élections sinon sur l’organisation de la fraude et la mascarade du 30 juillet », campe Doudou Wade.
Avant de souligner sur Zik fm, qu’il ne peut y avoir dialogue sans que l’équation dite Macky ne soit résolue. « S’il (Aly Ngouille Ndiaye) est prêt à céder, c’est d’abord de reconnaitre les fautes. La meilleure des solutions, c’est que le président réponde aux questions qui ont été posées par l’opposition. D’abord, reconnaitre lui-même les faits qu’il n’y a pas eu d’organisation des élections mais une mascarade d’élection. Toutes les décisions qui ont été prises l’ont été en dehors d’un consensus », s’indigne l’ancien président du Groupe parlementaire libéral tout en dénonçant « l’attitude du Conseil constitutionnel qui, de part un avis-décision, a permis à l’Etat du Sénégal de voter directement par des récépissés, permettre à des personnes qui ne sont sur les listes de participer à cette fraude électorale ».
« Le ministre de l’Intérieur me fait sourire. Il a, auparavant, en réponse au livre blanc sur les élections législatives fait des aveux sur l’inorganisation des élections sinon sur l’organisation de la fraude et la mascarade du 30 juillet », campe Doudou Wade.
Avant de souligner sur Zik fm, qu’il ne peut y avoir dialogue sans que l’équation dite Macky ne soit résolue. « S’il (Aly Ngouille Ndiaye) est prêt à céder, c’est d’abord de reconnaitre les fautes. La meilleure des solutions, c’est que le président réponde aux questions qui ont été posées par l’opposition. D’abord, reconnaitre lui-même les faits qu’il n’y a pas eu d’organisation des élections mais une mascarade d’élection. Toutes les décisions qui ont été prises l’ont été en dehors d’un consensus », s’indigne l’ancien président du Groupe parlementaire libéral tout en dénonçant « l’attitude du Conseil constitutionnel qui, de part un avis-décision, a permis à l’Etat du Sénégal de voter directement par des récépissés, permettre à des personnes qui ne sont sur les listes de participer à cette fraude électorale ».
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