Comme d'habitude depuis le début du procès, les libéraux manifestaient lors de l'entrée du célèbre détenu dans le cadre de la traque des biens dits mal acquis. "Karim, président, bonne année". "Que Dieu fasse que tu remplaces ton père au Palais, en cette période de Gamou (naissance du Prophète (PSL) que nous venons de fêter (dans la nuit du samedi au dimanche).
Chacun y allait donc lorsque la Cour est annoncée. Ce qui n'empêche pas à certains de continuer à "faire des signes d'approbation ou d'improbation", formellement interdit à la salle 4 du Palais de Justice. Le président Henry Grégoire Diop qui en a ciblé un, demander au service d'ordre de "lui amener". Et tout de suite. ce qui est fait à l'instant. L'homme pousse le bouchon en disant: "qu'est-ce que j'ai fait".
"Dès que la Cour accède à la salle, il est interdit de faire tout signe d'approbation ou d'improbation", répète le juge qui fera preuve de clémence. Lunette bien en vue, en jean et chemise à rayures noires et grises, le partisan de Karim Wade ne sera finalement pas condamné. A la place, il est invité à sortir sans résistance aucune, de la salle. Ce, escorté par le service d'ordre. "S'il résiste, vous me l'amenez", sert le juge. ce qui n'arrivera pas puisque le partisan de Wade-fils n'est plus dans la salle.
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