C’est un programme dénommé Fast-Track (initiative de mise en œuvre accélérée de l’Education pour tous) et dont la première phase pour la construction de 1.930 salles de classes dans sept région du Sénégal a été lancée vendredi 21 août.
L’accord d’exécution a été signé entre le ministre de l’Education et l’Agence d’exécution des travaux d’intérêt publics(Agetip). Il est constitué d’un programme de construction de points d’eau (814), de blocs sanitaires, de blocs administratifs(500) et de murs de clôtures(150), pour améliorer la physionomie des écoles.
La deuxième phase concerne 2.430 classes, pour un coût global de 81,5 dollars Us, soit plus de 38 milliards de FCFA. A en croire Kalidou Diallo, les 4. 360 salles de classes offriront 2O9.280 places supplémentaires (extensions de cycles incomplets et de remplacement d’abris provisoires, mais aussi de nouvelles constructions.
Selon le ministre, il est prévu, il est prévu l’édification de 100 écoles Franco-arabe intégrant le curriculum officiel de l’éducation de base dans les régions de Kaolack, Kaffrine, Diourbel et Louga où le taux brut de scolarisation reste encore faible.
A en croire Kalidou Diallo, ce financement qui est un don est une récompense, un encouragement à l’égard du Sénégal pour ses efforts fournis en matière de l’éducation, pour lui permettre d’atteindre l’Education pour tous(Ept) en 2015.
L’accord d’exécution a été signé entre le ministre de l’Education et l’Agence d’exécution des travaux d’intérêt publics(Agetip). Il est constitué d’un programme de construction de points d’eau (814), de blocs sanitaires, de blocs administratifs(500) et de murs de clôtures(150), pour améliorer la physionomie des écoles.
La deuxième phase concerne 2.430 classes, pour un coût global de 81,5 dollars Us, soit plus de 38 milliards de FCFA. A en croire Kalidou Diallo, les 4. 360 salles de classes offriront 2O9.280 places supplémentaires (extensions de cycles incomplets et de remplacement d’abris provisoires, mais aussi de nouvelles constructions.
Selon le ministre, il est prévu, il est prévu l’édification de 100 écoles Franco-arabe intégrant le curriculum officiel de l’éducation de base dans les régions de Kaolack, Kaffrine, Diourbel et Louga où le taux brut de scolarisation reste encore faible.
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