Le Secrétaire General du SUDES section des universités, Cheikhou Issa Sylla a souligné au cours de cette rencontre avec la presse qu’«un déficit criard de professeur de sciences en particulier de professeur de mathématique a déjà été noté au niveau national». Il a souligné qu’après évaluation, la conclusion est que «le déficit de professeurs de mathématiques se situe entre 900 et 1000 enseignants lors du mouvement national cumulé depuis plusieurs années.
Pour lui, le système éducatif est essentiellement caractérisé par l’insuffisance de personnels enseignants en mathématique». Il a, ainsi, salué l’engagement de la Faculté des Sciences et Technologie de l’Education et de la Formation (FASTEF), le département de mathématiques de la faculté des sciences et techniques de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) qui ont fait des propositions pour apporter des alternatives face à cette urgence.
Selon M. Sylla, la question est assez grave car la proposition du SUDES de porter une réflexion sur la question a mis le doigt sur la plaie. «Toutes les institutions scolaires comme l’université de Ziguinchor, l’UCAD entre autres ont sauté sur l’occasion pour faire part de leur inquiétude» a-t-il fait savoir.
A l’en croire, la solution de ce manque de professeurs en science «passe par la formation scientifique». Ainsi, il a proposé que l’enseignement scientifique soit revalorisé par «la création d’un cadre qui permet aux scientifiques de s’intégrer». Avant d’ajouter que «cette politique doit se faire dans la durée sur l’ensemble du territoire national».
Les participants à cette rencontre ont exprimé leur souhait que les conclusions qui seront tirées de ce séminaire international soient prises en compte dans l’application de la politique scolaire de l’Etat du Sénégal.
Pour lui, le système éducatif est essentiellement caractérisé par l’insuffisance de personnels enseignants en mathématique». Il a, ainsi, salué l’engagement de la Faculté des Sciences et Technologie de l’Education et de la Formation (FASTEF), le département de mathématiques de la faculté des sciences et techniques de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) qui ont fait des propositions pour apporter des alternatives face à cette urgence.
Selon M. Sylla, la question est assez grave car la proposition du SUDES de porter une réflexion sur la question a mis le doigt sur la plaie. «Toutes les institutions scolaires comme l’université de Ziguinchor, l’UCAD entre autres ont sauté sur l’occasion pour faire part de leur inquiétude» a-t-il fait savoir.
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