Le Premier ministre kenyan, Raila Odinga, est l'un des huit candidats à la présidentielle. REUTERS/Noor Khamis
Sur la scène, six podiums et un compteur digital. En face, un bureau où les deux modérateurs du débat sont en train de discuter. La priorité, c’est l’équité pour les candidats, et le moindre détail compte.
« Nous procèderons à un petit tirage au sort au début du débat, explique Linus Kaika, rédacteur en chef de Nation TV. Ensuite, ils entreront sur scène selon le numéro qu’ils ont tiré. Parce que nous savons que le podium où nous plaçons les candidats pourrait créer une polémique ». Les techniciens testent les micros, une caméra perchée balaie la scène sous tous les angles.
Le débat sera retransmis sur huit chaînes de télévision et plus de 30 radios. La pression est donc énorme pour les deux présentateurs.
« Je pense que le plus important, c’est que le pays sorte de ce débat mieux informé et toujours uni, souligne Julie Gichuru, qui travaille également à Nation TV. Donc je ressens une immense responsabilité sur nos épaules. Je ne suis pas vraiment nerveuse, mais on va dire que j’appréhende un peu ».
Le public envoie ses questions par sms, email, message Facebook ou Twitter. Coût de l’événement : plus d’un million de dollars.
Source: RFI
« Nous procèderons à un petit tirage au sort au début du débat, explique Linus Kaika, rédacteur en chef de Nation TV. Ensuite, ils entreront sur scène selon le numéro qu’ils ont tiré. Parce que nous savons que le podium où nous plaçons les candidats pourrait créer une polémique ». Les techniciens testent les micros, une caméra perchée balaie la scène sous tous les angles.
Le débat sera retransmis sur huit chaînes de télévision et plus de 30 radios. La pression est donc énorme pour les deux présentateurs.
« Je pense que le plus important, c’est que le pays sorte de ce débat mieux informé et toujours uni, souligne Julie Gichuru, qui travaille également à Nation TV. Donc je ressens une immense responsabilité sur nos épaules. Je ne suis pas vraiment nerveuse, mais on va dire que j’appréhende un peu ».
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