Les premiers résultats donnent au Mouvement populaire de libération de l’Angola (MPLA), le parti du président sortant, plus de 74% des voix.
C'est certes nettement moins que les 82% de 2008 mais cela lui donne tout de même une majorité qualifiée plus que confortable. Le parti de José Eduardo dos Santos attend des résultats provisoires détaillés avant de réagir.
L’Union nationale pour l'indépendance totale de l'Angola (Unita), qui remporte 17,94% des suffrages - le double de son score de 2008 -, se maintient en tant que deuxième force du pays et la toute jeune Casa (Large convergence pour le salut de l'Angola, dissidence de l'Unita) arrive troisième avec un peu plus de 4,5% des voix.
Contestation du processus électoral
Les directions politiques de l’opposition sont réunies en ce moment même. On s’attend à des réactions officielles dans les heures qui viennent. L'Unita, la Casa et le Parti de rénovation sociale (PRS) contestent le processus électoral, dénonçant notamment le fait que la commission électorale n’ait accrédité que très peu de délégués dans les différents bureaux de vote.
Les Angolais renouvelaient, vendredi 31 août, les 220 membres de leur Parlement. Selon la Constitution modifiée en 2010, le chef du parti vainqueur des législatives devient président de la République, et le président dos Santos âgé de 70 ans - et au pouvoir depuis presque 33 ans - devrait en conséquence pouvoir se succéder à lui-même. Le scrutin - le deuxième depuis la fin de la guerre civile en 2002 - s'est déroulé dans le calme. Mais l'opposition angolaise n'a cessé de dénoncer le manque de transparence du processus électoral.
RFI
C'est certes nettement moins que les 82% de 2008 mais cela lui donne tout de même une majorité qualifiée plus que confortable. Le parti de José Eduardo dos Santos attend des résultats provisoires détaillés avant de réagir.
L’Union nationale pour l'indépendance totale de l'Angola (Unita), qui remporte 17,94% des suffrages - le double de son score de 2008 -, se maintient en tant que deuxième force du pays et la toute jeune Casa (Large convergence pour le salut de l'Angola, dissidence de l'Unita) arrive troisième avec un peu plus de 4,5% des voix.
Contestation du processus électoral
Les directions politiques de l’opposition sont réunies en ce moment même. On s’attend à des réactions officielles dans les heures qui viennent. L'Unita, la Casa et le Parti de rénovation sociale (PRS) contestent le processus électoral, dénonçant notamment le fait que la commission électorale n’ait accrédité que très peu de délégués dans les différents bureaux de vote.
Les Angolais renouvelaient, vendredi 31 août, les 220 membres de leur Parlement. Selon la Constitution modifiée en 2010, le chef du parti vainqueur des législatives devient président de la République, et le président dos Santos âgé de 70 ans - et au pouvoir depuis presque 33 ans - devrait en conséquence pouvoir se succéder à lui-même. Le scrutin - le deuxième depuis la fin de la guerre civile en 2002 - s'est déroulé dans le calme. Mais l'opposition angolaise n'a cessé de dénoncer le manque de transparence du processus électoral.
RFI
Autres articles
-
Haïti: un avion de ligne à destination de Port-au-Prince touché par des tirs
-
L'adoption de la loi sur les agents étrangers aidera la RCA à lutter contre l’ingérence étrangère
-
Climat : « Boycott et tensions autour de la COP29, l’Azerbaïdjan, entre enjeux climatiques et droits humains »
-
En Afrique centrale, les petits fermiers adoptent l’agroécologie pour préserver la biodiversité
-
Maurice: le Premier ministre concède sa défaite aux législatives