Jean-Yves Le Drian avait dit en février dernier : « L’élection s'est achevée finalement par une espèce de compromis à l'africaine ». Ces propos avaient fait parler à l’époque.
Aujourd’hui, le chef de la diplomatie française est plutôt admiratif. « Parce qu’il y a eu une alternance, a-t-il expliqué lundi lors de sa visite à Kinshasa. Je la constate avec plaisir. Il y a eu une vraie élection démocratique validée par la Cour constitutionnelle et validée par l’Union africaine. Et cette alternance, qui est effective, se concrétise aussi par des actes. Ce n’est pas uniquement une alternance du discours. »
Le ministre français de lʼEurope et des Affaires étrangères a également cité notamment des réalisations dans le cadre de la décrispation du climat politique. « Le président Macron m’a également demandé de saluer toutes les initiatives prises par le président Tshisekedi dans le domaine de l’état de droit », a-t-il souligné.
Jean-Yves Le Drian a évoqué aussi les principaux axes du partenariat entre la France et la RDC. Sur le plan de l’éducation, il a dit qu’un accent particulier sera mis sur un appui renforcé aux grandes écoles de formations de l’administration congolaise.
Pour ce qui est de la santé, un effort singulier devra être fourni sur la recherche dans le but d’affiner la connaissance du virus Ebola. Et la France veut également accompagner la RDC dans le chantier de la réforme du secteur de la sécurité et un renforcement des capacités de l’armée congolaise.
Aujourd’hui, le chef de la diplomatie française est plutôt admiratif. « Parce qu’il y a eu une alternance, a-t-il expliqué lundi lors de sa visite à Kinshasa. Je la constate avec plaisir. Il y a eu une vraie élection démocratique validée par la Cour constitutionnelle et validée par l’Union africaine. Et cette alternance, qui est effective, se concrétise aussi par des actes. Ce n’est pas uniquement une alternance du discours. »
Le ministre français de lʼEurope et des Affaires étrangères a également cité notamment des réalisations dans le cadre de la décrispation du climat politique. « Le président Macron m’a également demandé de saluer toutes les initiatives prises par le président Tshisekedi dans le domaine de l’état de droit », a-t-il souligné.
Jean-Yves Le Drian a évoqué aussi les principaux axes du partenariat entre la France et la RDC. Sur le plan de l’éducation, il a dit qu’un accent particulier sera mis sur un appui renforcé aux grandes écoles de formations de l’administration congolaise.
Pour ce qui est de la santé, un effort singulier devra être fourni sur la recherche dans le but d’affiner la connaissance du virus Ebola. Et la France veut également accompagner la RDC dans le chantier de la réforme du secteur de la sécurité et un renforcement des capacités de l’armée congolaise.
Autres articles
-
Emmanuel Macron reconnaît «le rôle et la responsabilité de la France» dans la «guerre» au Cameroun durant la période coloniale
-
Bande de Gaza: «On attend que la communauté internationale dise stop au massacre»
-
La Communauté de développement de l’Afrique australe veut dépendre «davantage de ses propres ressources»
-
L’intelligence artificielle en Afrique, entre avancées et difficultés
-
Burkina Faso : prison à vie pour 13 personnes impliquées dans des «actes de terrorisme», dont les attaques de 2018 contre l'ambassade de France