
Parmi les victime des événements de Mars 2021, Cheikh Wade, un tailleur de 32 ans, qui a été tué par balle aux Parcelles Assainies, un quartier de Dakar, par les forces de l’ordre. La vidéo de sa mort a largement fait le tour des réseaux sociaux et des médias au Sénégal et dans le monde.
Sur la vidéo authentifiée par Amnesty International, on peut voir un agent de Police viser et tirer sur Cheikh Wade. Une voiture de police vient ensuite au niveau du corps puis le dépasse, sans lui porter secours. La famille de Cheikh a porté plainte devant la Cour d’Appel de Dakar et le dossier n’a, à ce jour, connu aucune suite. Sa famille attend toujours que justice soit rendue.
« Tout ce que nous voulons ce sont des réponses sur la cause de la mort de mon frère. Nous voulons que justice soit faite pour lui et les autres victimes, et connaître les raisons pour lesquelles la police lui a tiré dessus », a précisé Abdoulaye Wade, frère de Cheikh Wade à Amnesty International.
Cheikh Massiré Coly, dont le fils Cheikh Coly (20 ans) a été la première personne tuée lors de ces manifestations, le 3 mars 2021, dans la ville de Bignona (région de Ziguinchor) abonde dans le même sens.
« La brigade de recherches [de la gendarmerie] est venue chez moi après la mort de mon fils ; ils m’ont entendu en mars 2021 et depuis lors il n’y a pas eu de suite. Les autorités politiques nous ont fait venir à Dakar en mai 2021 pour parler de ces incidents avec d’autres familles de victimes, mais tout ce que je veux c’est la justice pour la mort de mon fils. Rien de plus. », a-t-il confié à Amnesty International.
Sur la vidéo authentifiée par Amnesty International, on peut voir un agent de Police viser et tirer sur Cheikh Wade. Une voiture de police vient ensuite au niveau du corps puis le dépasse, sans lui porter secours. La famille de Cheikh a porté plainte devant la Cour d’Appel de Dakar et le dossier n’a, à ce jour, connu aucune suite. Sa famille attend toujours que justice soit rendue.
« Tout ce que nous voulons ce sont des réponses sur la cause de la mort de mon frère. Nous voulons que justice soit faite pour lui et les autres victimes, et connaître les raisons pour lesquelles la police lui a tiré dessus », a précisé Abdoulaye Wade, frère de Cheikh Wade à Amnesty International.
Cheikh Massiré Coly, dont le fils Cheikh Coly (20 ans) a été la première personne tuée lors de ces manifestations, le 3 mars 2021, dans la ville de Bignona (région de Ziguinchor) abonde dans le même sens.
« La brigade de recherches [de la gendarmerie] est venue chez moi après la mort de mon fils ; ils m’ont entendu en mars 2021 et depuis lors il n’y a pas eu de suite. Les autorités politiques nous ont fait venir à Dakar en mai 2021 pour parler de ces incidents avec d’autres familles de victimes, mais tout ce que je veux c’est la justice pour la mort de mon fils. Rien de plus. », a-t-il confié à Amnesty International.
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