« Le contrat de travail doit il être matérialisé par écrit pour prouver son existence ? Comment faire pour déterminer l’existence d’un contrat de travail entre un groupement sportif et un entraineur ? A vrai dire, il n’existe aucune définition légale du contrat de travail. C’est au juge de déterminer les critères au cas par cas. (…) Dans le cas d’espèce concernant Koto, manifestement il y a l’existence d’un lien de subordination juridique dans la mesure où la FSF lui donnait des ordres et des directives. De plus, la Fédération contrôlait l’exécution de son travail par le biais de la direction technique nationale (DTN) et pouvait le sanctionner au cas où il n’aurait pas atteint ses objectifs. Koto respectait aussi les horaires des entrainements pendant la préparation et le planning pendant la compétition. Le matériel qu’il utilisait était fourni par la Fédération. Par conséquent, il existe tout un faisceau de d’indices incontestables qui penchent vers l’existence d’un lien de subordination juridique entre Koto et la FSF. Ce contrat n’a pas besoin d’être établi par écrit pour exister. (…) Je pense qu’on a besoin de salubrité contractuelle en ce qui concerne la situation des sélectionneurs, notamment des petites catégories. », a déclaré l'avocat dans les colonnes de Stades.
Autres articles
-
Foot : Lionel Messi remporte la MLS avec l'Inter Miami
-
Ligue 1 : Première victoire du Jaraaf cette saison, Guédiawaye FC chute à zéro point après sanction
-
Premier League : Liverpool encore accroché par Leeds
-
Liga : avec un triplé de Ferran Torres, le FC Barcelone écrase le Betis Séville et conserve la première place
-
Coupe du monde 2026 : le calendrier des « Lions » dévoilé, avec un premier choc face à la France




Foot : Lionel Messi remporte la MLS avec l'Inter Miami


