A l’occasion du Forum Charm el-Cheikh, le président de la Banque Africaine de Développement, Akinwumi Adesina, a porté son robe d’avocat pour bien défendre le continent africain à l’occasion de ce forum de Charm El-Cheikh en Egypte. Vantant à tout va les mérités et les atouts du continent. Selon lui, cela ne fait aucun doute: on ne pourra plus arrêter une Afrique ouverte. Avant d’ajouter que la suppression des barrières est la clé de la croissance et de la prospérité à long terme de l'Afrique.
Au cours de ce forum tenu en Egypte, les chefs d'Etat africains se sont réunis aux côtés de leaders d'opinion, d'investisseurs et de partenaires dans la station balnéaire de la mer Rouge. Cette rencontre a pour but d'accélérer l'engagement et l'investissement du secteur privé en Afrique, de nouer de nouveaux partenariats et de mettre en évidence l'opportunité que représente l'Afrique, selon le site d'information économique lejecos.com.
Face à ses interlocuteurs, Adesina a dit que : «Nous ne devons pas croire au discours pessimiste sur l'Afrique». Invitant tout le monde à regarder les choses en face pour constater que tout ne va pas mal comme certains le veulent faire croire. Selon lui, alors que le FMI et l'OCDE prévoient une croissance de 3 % de l'économie mondiale pour cette année, on prévoit pour 2016, en Afrique, une croissance de 4,4 %, qui devrait atteindre 5 % en 2017.
«C'est une bonne nouvelle ! Les économies africaines ne se disloquent pas, elles sont résilientes ! L'Afrique reste le meilleur endroit où investir», ajoute le président de la BAD.
De même, il fait savoir que les pays africains doivent accélérer leur rythme de croissance et de développement. Car l'Afrique doit voir les choses en grand, faire les choses en grand et agir en grand.
«Nous ne devons jamais manquer d'ambitions pour l'Afrique. La Banque africaine de développement votre banque sera là pour vous aider», conclut-il.
Au cours de ce forum tenu en Egypte, les chefs d'Etat africains se sont réunis aux côtés de leaders d'opinion, d'investisseurs et de partenaires dans la station balnéaire de la mer Rouge. Cette rencontre a pour but d'accélérer l'engagement et l'investissement du secteur privé en Afrique, de nouer de nouveaux partenariats et de mettre en évidence l'opportunité que représente l'Afrique, selon le site d'information économique lejecos.com.
Face à ses interlocuteurs, Adesina a dit que : «Nous ne devons pas croire au discours pessimiste sur l'Afrique». Invitant tout le monde à regarder les choses en face pour constater que tout ne va pas mal comme certains le veulent faire croire. Selon lui, alors que le FMI et l'OCDE prévoient une croissance de 3 % de l'économie mondiale pour cette année, on prévoit pour 2016, en Afrique, une croissance de 4,4 %, qui devrait atteindre 5 % en 2017.
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