Disséquer le terrorisme sous ses diverses formes afin d’y apporter des réponses adéquates était au menu des interventions, ce matin, lors du sommet sur la paix et la sécurité en Afrique qui se déroule à Dakar. C’est dans ce sens que le chef d’Etat-major des armées françaises a déclaré que le terrorisme se reposait beaucoup sur les réseaux sociaux, afin de propager son message.
En effet, selon le Général Pierre de Villiers, les réseaux sociaux sont «des moyens de transmettre des messages de haine de la part de Aqmi, Daesh, Boko Haram». Et cet état de fait est très dangereux explique le Général français puisque «cette propagande place la violence au cœur de la société». Et, prévient-il, «ces formes de propagandes rendent la lutte contre le terrorisme beaucoup plus difficile».
Cette vision est partagée par Mongui Hamdi, le représentant spécial du Secrétaire général des Nations-Unies et Chef de la Munisma au Mali. Ce dernier soutient que : «le continent africain subit une violence accrue avec la criminalité et l’instrumentalisation de la religion». Continuant sur sa lancée, Mongui Hamdi exhorte les dirigeants africains et leurs partenaires à prendre conscience de la diversité des formes que prend le terrorisme et du déplacement de son champ d’action en Afrique de l’Ouest : «Nous constatons que le terrorisme a élargi progressivement son champ de bataille et a opéré le changement de son champ d’action vers la région du Sahel».
Néanmoins, se battre contre le terrorisme n’est pas une cause perdue d’avance, si l’on en croit les panélistes. Mais il faut que les dirigeants africains et leurs partenaires prennent conscience que ce sont des sommets comme celui-ci qui contribuent à apporter des réponses efficaces, si jamais les conclusions issues de ces rencontres sont appliquées.
En effet, selon le Général Pierre de Villiers, les réseaux sociaux sont «des moyens de transmettre des messages de haine de la part de Aqmi, Daesh, Boko Haram». Et cet état de fait est très dangereux explique le Général français puisque «cette propagande place la violence au cœur de la société». Et, prévient-il, «ces formes de propagandes rendent la lutte contre le terrorisme beaucoup plus difficile».
Cette vision est partagée par Mongui Hamdi, le représentant spécial du Secrétaire général des Nations-Unies et Chef de la Munisma au Mali. Ce dernier soutient que : «le continent africain subit une violence accrue avec la criminalité et l’instrumentalisation de la religion». Continuant sur sa lancée, Mongui Hamdi exhorte les dirigeants africains et leurs partenaires à prendre conscience de la diversité des formes que prend le terrorisme et du déplacement de son champ d’action en Afrique de l’Ouest : «Nous constatons que le terrorisme a élargi progressivement son champ de bataille et a opéré le changement de son champ d’action vers la région du Sahel».
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