"J'ai encouragé tous mes amis à entrer dans la direction du parti. Moi-même, je me suis dite disponible pour exercer des responsabilités. Si on me les donne, c'est bien, si on ne me les donne pas, c'est bien aussi", a-t-elle dit sur France Info.
"Si on me donne des missions provisoires, ce sera parfait. En tout état de cause, nous entrons dans cette dynamique de rassemblement parce que je l'ai souhaitée, je l'ai voulue, les militants le veulent, les Français en ont besoin et je crois que la gravité de la crise appelle une gauche forte, rassemblée", a-t-elle ajouté.
Ségolène Royal a notamment cité les noms de Manuel Valls, Vincent Peillon, Jean-Louis Bianco, Jean-Pierre Mignard, Aurélie Filipetti, comme prochains membres de la direction socialiste. Il s'agit de ses principaux lieutenants.
Ce virage semble confirmer le rapprochement entre la présidente de la région Poitou-Charentes et Martine Aubry, qui l'avait devancée pour le poste de premier secrétaire après un vote des militants très serré fin novembre et conclu par une polémique interne très violente et des accusations de fraude.
Ségolène Royal et ses partisans avaient alors refusé d'être intégrés à la nouvelle direction du principal parti d'opposition français et avaient monté une forme de structure parallèle, dotée de locaux à Paris, avec souvent des interventions médiatiques concurrentes.
Cette position va changer alors que la situation sociale se dégrade en France et que la popularité de Nicolas Sarkozy est en forte chute.
Les principaux syndicats de salariés ont appelé à une nouvelle journée de grèves et de manifestations le 19 mars pour demander davantage de mesures face à la crise, une revendication soutenue par le PS.
source : Reuters
"Si on me donne des missions provisoires, ce sera parfait. En tout état de cause, nous entrons dans cette dynamique de rassemblement parce que je l'ai souhaitée, je l'ai voulue, les militants le veulent, les Français en ont besoin et je crois que la gravité de la crise appelle une gauche forte, rassemblée", a-t-elle ajouté.
Ségolène Royal a notamment cité les noms de Manuel Valls, Vincent Peillon, Jean-Louis Bianco, Jean-Pierre Mignard, Aurélie Filipetti, comme prochains membres de la direction socialiste. Il s'agit de ses principaux lieutenants.
Ce virage semble confirmer le rapprochement entre la présidente de la région Poitou-Charentes et Martine Aubry, qui l'avait devancée pour le poste de premier secrétaire après un vote des militants très serré fin novembre et conclu par une polémique interne très violente et des accusations de fraude.
Ségolène Royal et ses partisans avaient alors refusé d'être intégrés à la nouvelle direction du principal parti d'opposition français et avaient monté une forme de structure parallèle, dotée de locaux à Paris, avec souvent des interventions médiatiques concurrentes.
Cette position va changer alors que la situation sociale se dégrade en France et que la popularité de Nicolas Sarkozy est en forte chute.
Les principaux syndicats de salariés ont appelé à une nouvelle journée de grèves et de manifestations le 19 mars pour demander davantage de mesures face à la crise, une revendication soutenue par le PS.
source : Reuters
Autres articles
-
Gabon: le ministre du tourisme sur la sellette, accusé de détournement de fonds
-
Guinée-Bissau: la commission électorale annonce qu'elle ne publiera pas les résultats des élections
-
Mali : le Jnim diffuse une vidéo des deux journalistes de l'ORTM enlevés il y a un mois et demi
-
Etats-Unis: au moins quatre morts et dix blessés dans des tirs en Californie, selon la police
-
Cameroun: élections régionales dans le contexte tendu de l'après-présidentielle




Gabon: le ministre du tourisme sur la sellette, accusé de détournement de fonds


