Un local des forces spéciales très endommagé, à Benghazi, le 15 juin 2013. REUTERS/Esam Al-Fetori
Selon un officier des forces spéciales, des hommes armés se dont dirigés dans la nuit du 12 au 13 juin vers un premier centre des forces de sécurité, brûlant plusieurs véhicules. Ces hommes ont aussi essayé de s’emparer des armes à l’intérieur du bâtiment. Ils seraient ensuite allés vers le quartier général des forces spéciales, tentant à nouveau de s’emparer d’armes en attaquant le lieu, mais sans succès.
Bras de fer
Les forces spéciales, qui dépendent de l’état-major, avaient été déployées à Benghazi dès la mi-mai. Toujours selon cet officier, les assaillants étaient environ 200 et l’attaque s’est déroulée vers 3 h du matin. Nombreux sont ceux qui accusent ces hommes armés d’appartenir à des milices.
Le bras de fer entre les milices et les forces de sécurité continue à Benghazi, pour certains il s’agit d’une revanche des affrontements qui ont eu lieu samedi dernier entre des manifestants et une milice qui ont fait plus de 30 morts. Certaines milices comptent bien montrer qu’elles refusent tout démantèlement et qu’elles sont prêtes à en découdre avec les forces de sécurité. Certaines d’entre elles dépendent pourtant du ministère de l’Intérieur. L’ancien maire de Benghazi a dénoncé l’inaction de Tripoli et accuse les autorités d’avoir abandonné la ville. Un sentiment partagé par une large partie des habitants.
Source: RFI
Bras de fer
Les forces spéciales, qui dépendent de l’état-major, avaient été déployées à Benghazi dès la mi-mai. Toujours selon cet officier, les assaillants étaient environ 200 et l’attaque s’est déroulée vers 3 h du matin. Nombreux sont ceux qui accusent ces hommes armés d’appartenir à des milices.
Le bras de fer entre les milices et les forces de sécurité continue à Benghazi, pour certains il s’agit d’une revanche des affrontements qui ont eu lieu samedi dernier entre des manifestants et une milice qui ont fait plus de 30 morts. Certaines milices comptent bien montrer qu’elles refusent tout démantèlement et qu’elles sont prêtes à en découdre avec les forces de sécurité. Certaines d’entre elles dépendent pourtant du ministère de l’Intérieur. L’ancien maire de Benghazi a dénoncé l’inaction de Tripoli et accuse les autorités d’avoir abandonné la ville. Un sentiment partagé par une large partie des habitants.
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