En Guinée, la crise politique a déjà provoqué un manque à gagner de 1000 milliards de francs guinéens pour l'Etat.
La crise politique dans laquelle s'empêtre la Guinée à un coût. La multiplication des jours de grève, les manifestations de Conakry, les fermetures de marchés, tout cela pèse sur l'économie réelle.
Les importations sont en forte baisse. Selon certaines sources les douanes ont enregistré une chute à deux chiffres depuis le début de l'année. Le climat étant pour le mons tendu, les investisseurs diffèrent certains projets.
A cela s'ajoute la morosité persistante dans le secteur minier où pour diverses raison, dont en premier lieu la crise mondiale, certains projets de grande envergure ont été arrêtés ou gelés.
L'Etat va réduire ses interventions
L'Etat qui a lancé un programme d'embauche de fonctionnaires tente de pallier les effet de cette double crise, mais sa marge de manœuvre est limitée. En mai dernier pourtant le Fond monétaire international se voulait optimiste.
La réduction de l'inflation et la rationalisation des dépenses publique permettaient alors d'envisager le maintien à un haut niveau des investissements publics. Mais aujourd'hui la baisse des recettes enregistrées par le ministère du Plan va avoir des repercussions. L'Etat va réduire ses interventions, mais afin de préserver les fonctionnaires, il continuera à payer les salaires.
Source : Rfi.fr
Les importations sont en forte baisse. Selon certaines sources les douanes ont enregistré une chute à deux chiffres depuis le début de l'année. Le climat étant pour le mons tendu, les investisseurs diffèrent certains projets.
A cela s'ajoute la morosité persistante dans le secteur minier où pour diverses raison, dont en premier lieu la crise mondiale, certains projets de grande envergure ont été arrêtés ou gelés.
L'Etat va réduire ses interventions
L'Etat qui a lancé un programme d'embauche de fonctionnaires tente de pallier les effet de cette double crise, mais sa marge de manœuvre est limitée. En mai dernier pourtant le Fond monétaire international se voulait optimiste.
La réduction de l'inflation et la rationalisation des dépenses publique permettaient alors d'envisager le maintien à un haut niveau des investissements publics. Mais aujourd'hui la baisse des recettes enregistrées par le ministère du Plan va avoir des repercussions. L'Etat va réduire ses interventions, mais afin de préserver les fonctionnaires, il continuera à payer les salaires.
Source : Rfi.fr
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