Jeudi, le président de la République Macky Sall a présidé un Conseil présidentiel consacré à l’emploi des jeunes au Centre international de conférences Abdou Diouf de Diamniadio. Faut-il en rire ou en pleurer ? Peut être les deux à la fois !
Car, au moment où le président Sall recherche les voies et moyens pour créer ou sauver des emplois, les services fiscaux poussent des entreprises à fermer. Ou alors les découragent pour les pousser à suspendre leurs activités pour de bon ! Ce, à cause des harcèlements fiscaux et autres pressions (impôts et redevances) qu’exercent les mairies sur les petites entreprises, groupements d'intérêt économique (Gie), salons de coiffure, ateliers de couture etc… Même les «tanganas », les restaurants, les menuiseries et autres cafés-Touba gérés par de jeunes goorgorlous ne sont pas épargnés.
Dans un récent rapport, l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (Ansd) du Sénégal avait révélé que 7 000 entreprises ont définitivement mis la clé sous la porte en 2020. Ce, à cause de la crise sanitaire relative au Covid-19 et autres conséquences économiques.
Aujourd’hui, « Le Témoin » quotidien jure qu’à cause les pressions fiscales, la barre des 10.000 entreprises et Gie fermés est dépassée. Un exemple parmi d’autres, cette jeune opticienne qui a fini par fermer son cabinet à cause des pressions fiscales. « Actuellement, je suis dans le secteur informel qui est plus discret et moins contraignant avec le fisc ! Avec une ancienne camarade devenue pharmacienne après sa thèse à l’Ucad, nous avons ouvert une boutique au marché Hlm pour y vendre des produits cosmétiques… », a l'opticienne de profession et commerçante par circonstance, A. Nd, dans les colonnes du journal Le Témoin.
Car, au moment où le président Sall recherche les voies et moyens pour créer ou sauver des emplois, les services fiscaux poussent des entreprises à fermer. Ou alors les découragent pour les pousser à suspendre leurs activités pour de bon ! Ce, à cause des harcèlements fiscaux et autres pressions (impôts et redevances) qu’exercent les mairies sur les petites entreprises, groupements d'intérêt économique (Gie), salons de coiffure, ateliers de couture etc… Même les «tanganas », les restaurants, les menuiseries et autres cafés-Touba gérés par de jeunes goorgorlous ne sont pas épargnés.
Dans un récent rapport, l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (Ansd) du Sénégal avait révélé que 7 000 entreprises ont définitivement mis la clé sous la porte en 2020. Ce, à cause de la crise sanitaire relative au Covid-19 et autres conséquences économiques.
Aujourd’hui, « Le Témoin » quotidien jure qu’à cause les pressions fiscales, la barre des 10.000 entreprises et Gie fermés est dépassée. Un exemple parmi d’autres, cette jeune opticienne qui a fini par fermer son cabinet à cause des pressions fiscales. « Actuellement, je suis dans le secteur informel qui est plus discret et moins contraignant avec le fisc ! Avec une ancienne camarade devenue pharmacienne après sa thèse à l’Ucad, nous avons ouvert une boutique au marché Hlm pour y vendre des produits cosmétiques… », a l'opticienne de profession et commerçante par circonstance, A. Nd, dans les colonnes du journal Le Témoin.
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