Heureusement, l’Angleterre est là pour faire digérer les chocolats. Pendant que le reste de la planète football prend des vacances et des kilos, la Premier League offre des grosses affiches, comme ce très bon Chelsea -Liverpool avec podium en jeu. Plutôt tristounets jusqu’à présent, lesBlues ont sorti une première période de haute volée, notamment grâce à un brillant Hazard, avant de gérer leur courte avance (2-1). Les Reds, eux, ont confirmé leurs difficultés chez les gros (défaite sur les pelouses d’Arsenal et de Manchester City en PL, de Manchester United en coupe), et chutent en haut du classement. Leader avant Noël, Liverpool se retrouve 5e ce soir, à quatre points du podium, sur lequel est confortablement installé son adversaire du jour.
Fruit du Hazard
Au coup d’envoi, 4-3-3 habituel chez les Reds, avec Mamad’ dans l’axe, et 4-2-3-1 chez les Blues, avec l’alléchant trio Hazard-Oscar-Willian derrière Sam Eto’o. Le Camerounais s’illustre d’entrée d’une belle semelle sur Henderson. Coup franc de Coutinho, gros premier duel Ivanović-Suárez, et Škrtel est là pour en profiter (3e). Ça commence très fort. Chelsea est touché, mais seulement à l’orgueil. Les locaux posent le pied sur le ballon, attaquent, frappent de loin. Mais Mignolet repousse. Jusqu’au petit bijou d’Hazard (17e). À l’origine de l’action, le Belge est aussi à sa conclusion : un superbe enroulé pleine lulu. Techniquement, c’est excellent. Hazard, Oscar et Willian brillent par leurs perforations, Lampard par son travail de monstre dans l’entrejeu, Eto’o par son absence dans les débats. Jusqu’à ce tacle rageur et cette nouvelle intervention fébrile de Mignolet (33e). À l’origine, un bon débordement d’Azpi et un excellent boulot d’Oscar dans la surface. Liverpool est acculé, sans air, sans solution et sans Gerrard pour remettre de l’ordre. La mi-temps tombe à pic pour la bande à Rodgers.
Chelsea contrôle, Sakho se claque
Sakho récupère le maillot d’Eto’o, Obi Mikel prend la place de Lampard, et ça repart. Plus doucement. Chelsea a nettement reculé. Liverpool en profite, avec la possession dans le camp rival et une tête de Mamad’ sur la barre de Čech, mais s’expose aux contres. Aussi seul que hors-jeu, Eto’o voit son tir détourné par le bras de Mignolet. La fameuse balle de break. Car les Reds insistent et multiplient les coups de pied arrêtés dans la boîte. Sterling fait parler sa pointe de vitesse, mais manque d’adresse dans la zone de finition. Résultat, Luis Suárez est trop discret. Trop seul, trop peu servi. Et sur le banc, il n’y a pas grand-chose pour changer la donne. La preuve, Rodgers lance un jeune défenseur australien, Brad Smith, 19 ans et inconnu au bataillon, au poste d’ailier gauche. Peu mis en danger, Chelsea gère la partie. Eto’o passe tout près de tout gâcher d’une stupide béquille sur Suárez dans la surface, mais Mr Webb fait l’impasse. Liverpool ne reviendra pas. Pire, l’éphémère leader anglais perd Sakho, qui se claque dans les arrêts de jeu. Mourinho harangue les foules. Son Chelsea boucle l’année à deux points de la tête.
Fruit du Hazard
Au coup d’envoi, 4-3-3 habituel chez les Reds, avec Mamad’ dans l’axe, et 4-2-3-1 chez les Blues, avec l’alléchant trio Hazard-Oscar-Willian derrière Sam Eto’o. Le Camerounais s’illustre d’entrée d’une belle semelle sur Henderson. Coup franc de Coutinho, gros premier duel Ivanović-Suárez, et Škrtel est là pour en profiter (3e). Ça commence très fort. Chelsea est touché, mais seulement à l’orgueil. Les locaux posent le pied sur le ballon, attaquent, frappent de loin. Mais Mignolet repousse. Jusqu’au petit bijou d’Hazard (17e). À l’origine de l’action, le Belge est aussi à sa conclusion : un superbe enroulé pleine lulu. Techniquement, c’est excellent. Hazard, Oscar et Willian brillent par leurs perforations, Lampard par son travail de monstre dans l’entrejeu, Eto’o par son absence dans les débats. Jusqu’à ce tacle rageur et cette nouvelle intervention fébrile de Mignolet (33e). À l’origine, un bon débordement d’Azpi et un excellent boulot d’Oscar dans la surface. Liverpool est acculé, sans air, sans solution et sans Gerrard pour remettre de l’ordre. La mi-temps tombe à pic pour la bande à Rodgers.
Chelsea contrôle, Sakho se claque
Sakho récupère le maillot d’Eto’o, Obi Mikel prend la place de Lampard, et ça repart. Plus doucement. Chelsea a nettement reculé. Liverpool en profite, avec la possession dans le camp rival et une tête de Mamad’ sur la barre de Čech, mais s’expose aux contres. Aussi seul que hors-jeu, Eto’o voit son tir détourné par le bras de Mignolet. La fameuse balle de break. Car les Reds insistent et multiplient les coups de pied arrêtés dans la boîte. Sterling fait parler sa pointe de vitesse, mais manque d’adresse dans la zone de finition. Résultat, Luis Suárez est trop discret. Trop seul, trop peu servi. Et sur le banc, il n’y a pas grand-chose pour changer la donne. La preuve, Rodgers lance un jeune défenseur australien, Brad Smith, 19 ans et inconnu au bataillon, au poste d’ailier gauche. Peu mis en danger, Chelsea gère la partie. Eto’o passe tout près de tout gâcher d’une stupide béquille sur Suárez dans la surface, mais Mr Webb fait l’impasse. Liverpool ne reviendra pas. Pire, l’éphémère leader anglais perd Sakho, qui se claque dans les arrêts de jeu. Mourinho harangue les foules. Son Chelsea boucle l’année à deux points de la tête.
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